Oui, car comme je l'ai dit, mon but est faire connaitre ma particularité.
Bien, merci de vos réponses.
Certains pédophiles, notamment les plus assumés, voient leur pédophilie comme une part d'eux même et comme une particularité qui les distingue des autres et les rend plus uniques. Certains sont alors carrément fiers d'être pédophiles, surtout ils ne font pas de mal aux enfants (ou prétendent ne pas leur faire de mal).
Pour vous répondre très simplement, je le vis à la fois bien, et à la fois mal.
Je le vis bien, car je pense que le boylovisme n'est pas une maladie mentale, puisque pour moi, on ne peut pas qualifier une attirance sexuelle quelconque de maladie ; l'attirance sexuelle étant ce qu'il y'a de plus humain.
Je dirais qu'il y a certains cas pathologiques tout de même. Mais dans bien d'autres cas, la pédophilie est plus naturelle qu'on ne veut le faire croire. Elle est surtout qualifiée de maladie pour qu'on puisse mieux mépriser les pédophiles en les considérant comme des anormaux.
Elle est aussi souvent qualifiée d'anormale car les enfants ne sont pas aptes à se reproduire et que donc, il serait impossible d'être normalement attiré par les enfants car la nature aurait fait en sorte à ce que les hommes soient attirés par les femmes pour qu'ils puissent se reproduire. Mais nous ne sommes pas des animaux. Nous n'obéissons pas aveuglément qu'à notre instinct de survie. Nous avons aussi nos besoins, nos critères d'attraction et nos sentiments, ce qui influent beaucoup sur l'orientation sexuelle qui nous développons. Je vous recommande d'ailleurs de lire le dossier sur l'homosexualité et la pédophilie :
https://adep.1fr1.net/t74-n3-l-homosexualite-comparaison-pedophilie-et-homosexualiteLes topics dans la section B aussi, sur la question de savoir si la pédophilie est naturelle ou pas. La section D traite aussi des cas pathologiques
Mais en même temps ; je le vis mal... Car je sais que je ne peux pas parler publiquement de cette attirance ; à la fois d'un point de vue social, et à la fois d'un point de vue légal.
Bah ça, c'est pratiquement pareil pour tous les pédophiles. Tous, qu'ils soient bons ou mauvais, assumés ou non assumés, sont obligés de se cacher. Ce que je voulais savoir surtout c'est si vous assumez votre pédophilie ou hébéphilie et que vous l'acceptez bien. Vous êtes clairement dans la catégorie des assumés à la vue de ce que vous dites.
Si je parlais de mon attirance sexuelle à ma thérapeute ; elle le communiquerais probablement à la police judiciaire, et, par la suite, je me verrais perdre une partie de mes droits ; ce que je ne supporterai pas, ayant déjà eu un vécu assez difficile pour d'autres causes...
Effectivement, le secret médical n'est pas appliqué pour les pédosexuels. Après on s'étonne qu'ils ne se fassent pas aider. Mais forcément quand on voit que les thérapeutes sont plus motivés à dénoncer les méchants pédophiles que de leur venir en aide, faut pas s'étonner si le problème empire, car une écoute appropriée pourrait beaucoup aider de pédophiles à ne pas faire de mal aux enfants.
Par contre, votre thérapeute n'a absolument pas le droit de dénoncer le fait que vous soyez un pédophile. Etre un pédophile, c'est être attiré sexuellement par les enfants impubères, ce n'est pas la pédosexualité qui est de coucher avec les enfants. Un thérapeute ne doit vous dénoncer que si vous avouez un crime sexuelle envers un ou plusieurs enfants. Dans le cas contraire, si il vous dénonce juste parce que vous êtes un pédophile, déjà non seulement ce serait grave car celà dissuaderait encore plus les pédophiles en détresse non assumés de se faire aider (dommage pour eux et pour les victimes qui du coup augmente), mais en plus ça peut ruiner votre vie alors que vous n'avez rien fait de mal. Vous aurez selon moi de quoi porter plainte contre ce thérapeute et ce dernier prendrait cher normalement, de lourds dommages et intérêts ainsi qu'une radiation de l'ordre des médecins (si c'en est un).
Certains amis très proches sont au courant de mon attirance ; mais ils l'acceptent, car ce sont des gens plus "ouverts" intellectuellement que la moyenne (sans vouloir offenser quiconque).
C'est une bonne chose que vous puissiez en parle et c'est important. Même si vous êtes assumé et respectueux, il y a quand même des choses que vous ne pouvez pas comprendre seul, sans une vue plus extérieure. Le mieux pour vivre en harmonie avec soi même, c'est se connaître le mieux possible, ce qui est très difficile à faire tout seul.
Malheureusement, c'est bel et bien la question que je me pose en ce moment.
Car je sais qu'après mes études, je pourrais avoir accès un métier convenable, ayant tout de même de vraies ambitions professionnelles dans le domaine littéraire ; mais pour ce qui est de ma vie de boylover, je ne peux pas le dire, car tout dépends aussi et surtout de la manière dont l'opinion publique et l'éthique occidentale change de ce point de vue.
Comme je l'ai dit en réponse à un autre de vos messages. Je pense qu'il vaut mieux que vous vous contentiez de rapports affectifs et de contacts physiques affectifs ou semi-platoniques pour les raisons citées dans cette même réponse.
Mais si vous espérez vivre ce genre de relations avec des enfants, même si la société reste coincée et dans l'hystérie collective contre toutes formes de pédophilie, selon moi, il ne faut pas que ça vous arrête, si ça peut vous rendre heureux de fréquenter des enfants sans leur faire de mal voir au contraire leur apporter de bonnes choses, comme du soutient, de l'attention et de l'affection, il ne faut pas que le mauvais regard de la société vous en empêche. Je dis souvent que les pédophiles ont exactement les mêmes droits que les autres, ils ont le droit de fréquenter des enfants et les toucher tant que celà ne leur fait pas de mal. Personne n'a le droit de faire du mal aux enfants, qu'on soit pédophile ou pas, les enfants doivent être respectés.
J'ai été forcé de constater que les jeunes garçons, particulièrement lorsqu'ils sont homophiles, font souvent des témoignages sous formes d'anecdotes d'expériences vécues avec une personne plus âgée dont ils n'ont que des souvenirs positifs, et ces jeunes garçons réclament même très souvent la légalisation d'avoir des relations affectives et sexuelles avec des personnes plus âgées.
Si vous savez où en trouver de ces témoignages, je veux bien les voir. Les relations affectives ne sont pas interdites.
Après effectivement, il y a des cas de passages à l'acte qui n'ont pas que des effets négatifs sur les enfants et jeunes ados, mais il faut faire attention au cas où l'enfant ou ado ressent le plaisir sexuel tout en ayant un sentiment de malaise et de confusion vis à vis de l'expérience sexuelle vécue trop précossément.
Vous pouvez lire le topic sur la sexualité des enfants pour en savoir plus (en vous concentrant plutôt sur les derniers posts) :
https://adep.1fr1.net/t31-g2-les-enfants-la-sexualite-des-enfants De plus, des études sociologiques et judiciaires ont fait part d'une sorte de nouvelle mode qui consiste, chez les jeunes homophiles mineurs à enregistrer eux-même des vidéos pornographiques les mettant en scène, que cela soit avec une webcam, un téléphone portable, ou même une simple caméra numérique.
Bien entendu ; je ne fais aucune apologie quelconque d'actes illégaux.
Intéressant aussi, si vous avez un article quelconque qui en parle, je veux bien voir. Cette mode me parait surprenante. Serait-ce un moyen pour eux de montrer qu'ils existent? Ca en a l'air, ça ressemble à un moyen de se rencontrer les uns les autres et de prendre plaisir à partager ce qu'ils aiment, plutôt que de vivre cachés et sans possibilité (ou moins de possibilités) d'exploiter leurs sexualités.
Il m'arrive de cotoyer des enfants comme tout le monde, mais je n'en fréquente pas au sens quotidien ; et pour vous dire, mes projets professionnels ne me mettrons pas plus en contact avec des jeunes. Je n'envisage pas, par exemple, d'être professeur dans un collège.
En fait, lorsque je ressens une attirance pour un préado, puisque mes attirances sont uniquement vers ces derniers, je me comporte avec lui plutôt comme un grand frère qui ne se prends pas la tête et qui aime plaisanter.
Il y a, par exemple quelque jours, j'étais dans une brasserie, et c'est le fils du patron (un jeune garçon d'environ 13-14 ans que je connaissais déjà plus ou moins) qui m'a apporté la consommation que j'avais demandé, et avant qu'il ne reparte, je lui ai gentiment dit "Attends, mec !", et je lui ai tendu un pour-boire de la manière la plus amicale qui soit.
D'accord, mais vous ne souhaitez pas essayer d'en fréquenter?
Vous dites que vos attirances ne sont que envers les préados, donc il faut que le garçon entre 10 et 15ans soit plutôt impubère? Quelles sont vos limites d'attraction en fait? Je veux dire à partir de quand trouvez vous un garçon attirant et à partir de quand ne les trouvez vous plus attirant? Qu'est-ce qui fait que pour vous un enfant de 9ans n'est pas attirant comme un garçon de 10ans et qu'est-ce qui fait pour vous qu'un ado n'est plus attirant à environ 16ans?
Pour beaucoup de boylovers, les garçons ne sont plus attirants, quand ils commencent à avoir une taille adulte, quand leur voix a muée, quand ils ont des boutons d'acnée, quand leurs peaux n'a plus la douceur d'un enfant, quand ils ont des poils aux visages, aux bras et aux jambes, quand ils commencent à avoir des occupations et reflexions d'adultes et plus d'enfants... Pour vous, c'est quoi?
Vous disiez aussi être hétérosexuels, vous n'êtes donc pas attiré que par les préados de 10 à 15ans? Avez vous une préférence entre les deux? Est-ce que les femmes vous apportent des choses que ne vous apportent pas les jeunes garçons et vice versa?
Bien entendu, je me permets de dire que je suis boylover puisque j'ai des fantasmes érotiques concernant des jeunes garçons ; mais il y a une frontière très large entre mes fantasmes personnels et la réalité: Lorsque je parle de cette anecdote à la brasserie, il ne m'est absolument pas venu en tête de proposer au garçon d'aller les toilettes avec moi
Je m'excuse si j'explique les choses de manière aussi "brusque", mais je veux vraiment être précis sur la frontière entre le fantasme et la réalité.
En revanche, il est clair que j'évite les contacts physiques, car cela me mets mal a l'aise.
Alors attention, une pulsion, ce n'est pas la même chose qu'une envie. Forcément je me doute que comme tout le monde, dans l'absolu, vous avez envie d'avoir des rapports sexuels avec ceux qui vous attire. Mais ça ne veut pas dire que vous avez des pulsions. Une pulsion, c'est bien plus qu'une envie, c'est un désir parfois soudain, difficile à contrôler et dont vous ressentez le besoin irrepressible de satisfaire. C'est d'ailleurs l'une des causes principales de passages aux actes, plus précisément, c'est l'une des raisons principales d'agression sexuelle. Fréquemment quand une personne agresse sexuellement un enfant (ou quelqu'un d'autre d'ailleurs), elle le fait de manière subite et incontrollée avec un effet de surprise et parfois voir souvent de violence. Et souvent, ces agressions sur enfants, sont commis par des pédophiles compulsifs ou refoulés. Compulsifs, c'est ceux qui ont des pulsions, donc qui ressentent l'irrepressible envie de passer à l'acte. Les refoulés sont ceux qui mettent de côté leur pédophilie et font comme si elle n'existait pas (voir ne sont pas conscients qu'ils sont pédophiles), mais parfois quand ils se retrouvent avec un enfant, la pédophilie refoulée fait surface de manière tellement soudaine qu'ils passent à l'acte spontanément ou quand ils mettent leur pédophilie de côté et qu'ils n'arrivent pas à se satisfaire sexuellement, une frustration se met en place, et quand ils ne peuvent plus contenir cette frustration, pareil, ils passent à l'acte subitement, relachant d'un coup toute la frustration accumulée. Pour en savoir plus, vous pouvez lire le topic sur les pédophiles compulsifs :
https://adep.1fr1.net/t19-d2-cas-soignables-pedophiles-compulsifsQu'est-ce qui vous met mal à l'aise dans les contacts physiques? Est-ce la peur de ne pas vous contrôler (je pense que non), la peur de mettre le garçon mal à l'aise ou autres?
Je ne saurais pas dire à quelle catégorie j'appartiens, si ce n'est que je ne supporte pas que l'on fasse souffrir un jeune.
Vous êtes assumé et visiblement respectueux. J'ai l'impression que vous êtes un peu paternel aussi.
Je pense que c'est aux jeunes en question de choisir avec qui ils souhaitent avoir des relations et qu'il doivent absolument être consentants.
Vous êtes donc plutot passif, éventuellement semi-passif.
Cependant, je suis convaincu que, d'un point de vue sociologie, tout être humain est bisexuel, et qu'une préférence ne veut pas dire "n'avoir aucune attirance pour l'autre sexe".
Je pense quand même qu'il y a une petite prédisposition génétique qui influe sans déterminer quel type d'individu va nous attirer plus et lesquels vont nous attirer moins, voir nous répulser. Mais il y a aussi surtout, la maturation, le vécu, les besoins et sentiments qui influent tous sur notre orientation sexuelle. Après, penser que nous sommes tous bisexuel, je ne crois pas quand même. Mais rien n'est absolu dans la vie. Nous ne sommes généralement pas 100% hétéro ou 100% homo ou 100% pédo, c'est juste que suivant nos besoins, sentiments et autres, nous nous sentirons plus attirés vers les uns que les autres et toujours suivant notre point de vue, sentiments etc... nous nous sentirons dégouté par d'autres types d'individus et créeront des blocages psychologiques envers ces individus.