Topic consacré à la névrose de conversion dans la pédophilie et surtout dans la pédosexualité et pédocriminalité. Car rappelons que la pédophilie désigne l'attraction sexuelle envers les enfants et non l'acte qui est la pédosexualité. Les névroses de conversion aussi appelées hystérie collective jouent un grand rôle dans les affaires et surtout l'image de la pédophilie dans son ensemble.
1) Alors tout d'abord qu'est-ce qu'une névrose de conversion?
L'hystérie collective consiste à transmettre aux autres, de la peur, de l'angoisse, de la paranoia et bien d'autres sentiments suscitant la panique ou le mal-être, par la force de persuasion de l'entourage.
Par exemple : Une personne qui a la grippe intestinale peut faire croire aux autres qu'ils sont aussi malades parce qu'ils ont été contaminés. Une personne peut alors, par peur d'avoir été contaminé, paniquer au moindre signe de fatigue et se croire malade et plus une personne se croit malade, plus elle ressentira les effets de la maladie par force d'auto-persuasion initié par celui qui est vraiment malade.
On retrouve ce genre de névrose dans la pédophilie, notamment dû aux médias.
2) L'impact des médias
En effet les médias publient souvent les affaires qu'ils qualifient de "pédophilie", alors que parfois il s'agit de sadisme ou d'inceste. En effet, les affaires de pédocriminalité déferlent sur les médias, car c'est un sujet très vendeurs, car elle suscite beaucoup la peur, l'angoisse et la paranoïa, d'où après l'hystérie collective. Elle suscite aussi mépris, dégout et haine. Cela peut paraître paradoxal mais cela plaît aux gens d'avoir de quoi lâcher leurs mépris, dégout et haine. La haine est le contraire de l'amour, l'un ne peut exister sans l'autre, donc pour aimer, nous devons hair aussi.
La pédosexualité suscite la peur, car les parents ont peur qu'il arrive la même chose à leurs propres enfants et qu'ils en souffrent.
Elle suscitent la paranoïa, car les pédocriminels sont souvent des connaissances de la famille voir même encore plus souvent des membres de la famille.
Elles suscitent le mépris, car les gens considèrent souvent que les enfants ne doivent pas être mêlés à de la sexualité de quelque nature que ce soit.
Elles suscitent le dégout car les gens trouvent contre-nature qu'on puisse s'accoupler avec des enfants, même pas encore assez matures pour procréer. Les parents imaginent alors leurs propres enfants ayants des rapports sexuels, ce qui les dégoutent d'entrée aussi.
Elles suscitent enfin la haine car celà fait du mal aux enfants, qui souffrent, adoptent parfois des comportements dysfonctionnels et des émotions instables, mais aussi parce que les gens ont besoin d'hair comme ils ont besoin d'aimer.
Tous ces sentiments sont des sentiments très forts et ont donc un fort impact sur le point de vue des gens. Les médias nourrissent ses sentiments chaque fois qu'ils parlent d'une affaire de pédocriminalité, qu'ils qualifient presque toujours bêtement de pédophilie.
En effet, combien de fois voit-on par exemple les médias dirent "victime de pédophile", ou "il a été arrêté pour pédophilie", au lieu de dire pédosexuel ou pédocriminel. Voici donc un exemple de névrose de conversion, les victimes disent souvent qu'elles ont été victime d'un "pédophile", même quand il s'agit d'un père incestueux qui n'est peut-être même pas pédophile. Par la force de persuasion des médias, les gens associent désormais la pédophilie au mot victime et au mot abuseur. Quand on est victime d'abus sexuel en étant enfant, on ne dit presque jamais victime d'un violeur, d'un sadique, d'un psychopathe, d'un incestueux, on dit victime de pédophile. Cela crée souvent des confusions, parfois graves comme un syndrôme de faux souvenirs.
3) Syndrôme de faux souvenirs
Une névrose de conversion peut avoir pour conséquences, un syndrome de faux souvenirs. Une non-victime peut par exemple adopter le point de vu d'une victime et du coup, en quelque sorte à force d'empathie et d'y penser, ressentir ce qu'elle aurait ressenti si l'abus sexuel, lui était vraiment arrivé. Si une personne, comme un psychanalyste, se met à croire que le problème de son patient vient d'un abus sexuel, il peut alors inciter le patient à y réflechir et à force de trop y réflechir, il ne fera pas ressurgir des souvenirs refoulés et douloureux (puisqu'il n'y en a pas), il fera surgir des faux souvenirs. Car le patient se mettra alors à ressentir ce qui lui serait arrivé si il avait été abusé et peut après ne plus faire la différence entre le vrai et le faux, surtout si le psychanalyste le persuade que son problème viendrait bien de ce soit disant abus. La fausse victime va alors y voir de faux liens, qu'elle va croire vrais et encore plus y croire. Elle va aborder dans ce sens et de plus en plus y croire et plus elle va y croire plus elle va adopter le point de vue de son "moi" victime et à ressentir les effets d'abus sexuels bien qu'ils soient imaginaires. Et après, plus la fausse victime va ressentir ces effets plus elle va s'autopersuader d'être une victime et ainsi de suite.
4) Victime par persuasion
Un exemple de névrose de convertion qui est particulière intéressant. Une affaire de voyeurisme.
Un couple a été filmé à leur insu dans leur domicile par un voisin qui avait installé et caché des caméras un peu partout dans la maison. Loin de moi, l'idée de défendre ce genre de voyeurisme, mais il y a une chose qui est quand même surprenante. C'est que tout allait bien pour le couple, jusqu'au jour où ils ont trouvé les caméras et compris qu'ils ont été filmés nus et faisant l'amour. Si le mari était plutôt en colère, car le voisin voulait surtout espionner sa femme, cette dernière s'est mise à éprouver un sentiment de malaise comme si on l'avait violée. Il suffit que le mari sache que ce n'était pas lui qui était visé pour qu'il ne ressente que de la colère, pourtant lui aussi a été filmé à son insu et nu. Et il suffit que la femme sache qu'elle a été filmée nue pour se mettre dans la peau d'une victime, alors qu'elle aurait pu ne jamais s'en rendre compte et n'en ressentir absolument aucune conséquence. Comme quoi, le simple fait de croire, certes sous un prétexte malhonnête, avoir été victime suffit à en déclencher les conséquences. Il s'agit donc d'une victime par persuasion.
Il peut arriver le même genre de chose avec certains cas de rapports sexuels précoces (ou jugés précoces). Par exemple, une adolescente qui perd sa virginité à 13ans avec un rapport sexuel consentant (c'est rare, mais ça arrive). Cette adolescente peut très bien vivre cette expérience normalement, si elle était assez mature et assez structurée pour pouvoir apprécier le rapport sexuel. On rappelle que chacun découvre la sexualité à son rythme. Mais imaginons que les parents l'apprennent, paniquent, considérent que leurs filles est une victimes d'abus voir de viols, surtout qu'il est rare que la majorité sexuelle soit à 13ans (elle est très souvent plus haute). L'adolescente peut développer une névrose de conversion, convertie par la réaction de panique de ses parents. Elle peut alors se mettre à paniquer à cause de l'influence de ses parents et sa panique peut alors modifier son point de vue vis à vis du rapport sexuel qu'elle a vécu. Un point de vue déformé de ce qu'elle ressentait en réalité et qu'elle n'aurait jamais adopté si l'hystérie collectives des parents (ou autres) ne l'avait pas influencé voir obligé à le faire. L'adolescente pourrait très bien en effet adopter le point de vue de son entourage, notamment des parents avec lesquels elle vit, pour s'adapter à l'atmosphère dans lequel elle vit et par instinct de conservation en quelque sorte qui pourrait consister à adopter le même point de vue que les autres afin de mieux s'intégrer et qui n'adopte pas un certain point de vue avant de voir un autre le faire (phénomène fréquemment observé). On a donc aussi là, un cas de victime par persuasion.
Pour plus de détails, je vous recommande de lire le dossier M.7.2, consacré aux trauma névrotiques.
5) L'hystérie collective chez les psy
Les névroses de couversion modifient donc le point de vue des gens et malheureusement aussi ceux qui sont censés rester objectifs. C'est à dire les psychologues, sexologues et autres thérapeutes. Pas tous au même point heureusement. Mais l'influence des médias qui influent sur les gens, influent forcément un minimum aussi sur ceux qui essayent de ne pas trop se laisser influencer et de rester le plus neutre possible. En effet, même une partie (selon moi non négligeable) de thérapeutes associent sans cesse la pédophilie aux abus et aux viols sur enfants. Certains qui ont des patients pédophiles, insistent sur leurs activités et leur demandent souvent si ils sont dans la légalité. Certains vont jusqu'à carrément refuser les pédophiles, considérant qu'ils sont tous dangereux. Cette hystérie collective est partiellement justifiée, car en effet, les prédateurs sexuels sont partout ou les compulsifs ou les individus quelconque potentiellement dangereux, mais elle est aussi exacerbée au point de rendre certains thérapeutes incompétents et les gens voient alors le mal facilement.
Une citation intéressante que j'ai trouvée : La quasi totalité des psychologues ne sont rien que des policiers de la pensée au service d'une société qui a érigé ses propres névroses obsessionnelles - la violence et la destruction - en moyen et en but. Que peut un honnête homme attendre de pareils énergumènes? Rien, il ne peut que plaindre et aider leurs innombrables victimes.
Effectivement celà illustre plutôt bien, les réactions de ceux qui pourraient vouloir se faire aider par des psychologues, mais ne peuvent pas, en raison du fait que même eux sont fréquemment incompétents et aveuglés par leurs mépris.
Il arrive assez fréquemment qu'un homme calinant et embrassant un enfant soit considéré comme un pédophile et donc un prédateur, car les gens à cause de l'hystérie collective, ne font souvent pas la différence. Bien qu'il faille avouer que les hommes calinant les enfants, surtout quand ce ne sont pas les leurs, sont tout de même rares et qu'une partie d'entre eux, sans aucun doute, sont pédophiles. Mais pédophile ne veut pas forcément dire avec de mauvaises intentions. Sans compter que ceux qui ne sont pas pédophile, sont peut-être comme je le disais dans un autre topic, des pédophiles refoulés, qui ont côté pédophile qui ne s'est pas ou peu développé.
Bien évidemment, le but de tout celà n'est pas d'inciter à ne pas croire tout ceux et celles qui se disent victimes ... non pas de pédophilie, mais de pédosexualité ou de pédocriminalité. Mais de voir la réalité en face, ce genre de névrose existe et a des conséquences.
La société peut des fois victimiser une personne non victime, ce qui caractérise l'hystérie collective. Si on fait croire qu'on est victime et qu'on souffre d'un prétendu abus, c'est bête mais rien que ça, ça peut faire du mal. L'esprit controle le corps comme on dit, si on se croit victime, même sans l'être, on peut ressentir un certain malaise comme si on était victime. La névrose de conversion fonctionne aussi avec les maladies (et donc le mal être), il suffit parfois de se croire malade pour être malade. Donc la société est parfois responsable d'un exces de victimisation à force de mettre des victimes un peu trop partout et à vouloir en voir à tout prix quand le mot pédophile apparait dans l'histoire.
Un extrait que j'ai trouvé quelque part, une interview d'un certain Henri, mais je ne sais plus où, ni qui. Si vous savez, dites moi s'il vous plait :
- Phrase qui me pose problème et que je ne sais pas comment interpréter : choix de ne pas exposer l'enfant aux conséquences d'un passage à l'acte même consentant
- La réponse d’Henri : ils sont tellement respectueux de l’enfant et persuadé que le passage à l’acte ne serait que négatif pour ce dernier qu’ils le réfutent et ne veulent prendre aucun risque pour l’enfant, alors que certains enfants, c’est vrai, peuvent être consentants et ne jugent pas négatif ce genre de situation. Les effets négatifs peuvent être perçus immédiatement après les faits comme ils peuvent être vécues normalement ou ressurgir quelques mois après les faits, quelques années voire jamais. Dans le dernier cas, c’est souvent l’entourage qui peut générer un traumatisme à travers des réactions bien quelles soient légitimes, elles peuvent être traumatisantes pour l’enfant. Un pédophile quand bien même de bonne foi, ne peut pas anticiper les conséquences d’une relation sexuelle avec un enfant lorsque ce dernier devient adulte et les difficultés sexuelles qu’il peut avoir avec ses partenaires.
1) Alors tout d'abord qu'est-ce qu'une névrose de conversion?
L'hystérie collective consiste à transmettre aux autres, de la peur, de l'angoisse, de la paranoia et bien d'autres sentiments suscitant la panique ou le mal-être, par la force de persuasion de l'entourage.
Par exemple : Une personne qui a la grippe intestinale peut faire croire aux autres qu'ils sont aussi malades parce qu'ils ont été contaminés. Une personne peut alors, par peur d'avoir été contaminé, paniquer au moindre signe de fatigue et se croire malade et plus une personne se croit malade, plus elle ressentira les effets de la maladie par force d'auto-persuasion initié par celui qui est vraiment malade.
On retrouve ce genre de névrose dans la pédophilie, notamment dû aux médias.
2) L'impact des médias
En effet les médias publient souvent les affaires qu'ils qualifient de "pédophilie", alors que parfois il s'agit de sadisme ou d'inceste. En effet, les affaires de pédocriminalité déferlent sur les médias, car c'est un sujet très vendeurs, car elle suscite beaucoup la peur, l'angoisse et la paranoïa, d'où après l'hystérie collective. Elle suscite aussi mépris, dégout et haine. Cela peut paraître paradoxal mais cela plaît aux gens d'avoir de quoi lâcher leurs mépris, dégout et haine. La haine est le contraire de l'amour, l'un ne peut exister sans l'autre, donc pour aimer, nous devons hair aussi.
La pédosexualité suscite la peur, car les parents ont peur qu'il arrive la même chose à leurs propres enfants et qu'ils en souffrent.
Elle suscitent la paranoïa, car les pédocriminels sont souvent des connaissances de la famille voir même encore plus souvent des membres de la famille.
Elles suscitent le mépris, car les gens considèrent souvent que les enfants ne doivent pas être mêlés à de la sexualité de quelque nature que ce soit.
Elles suscitent le dégout car les gens trouvent contre-nature qu'on puisse s'accoupler avec des enfants, même pas encore assez matures pour procréer. Les parents imaginent alors leurs propres enfants ayants des rapports sexuels, ce qui les dégoutent d'entrée aussi.
Elles suscitent enfin la haine car celà fait du mal aux enfants, qui souffrent, adoptent parfois des comportements dysfonctionnels et des émotions instables, mais aussi parce que les gens ont besoin d'hair comme ils ont besoin d'aimer.
Tous ces sentiments sont des sentiments très forts et ont donc un fort impact sur le point de vue des gens. Les médias nourrissent ses sentiments chaque fois qu'ils parlent d'une affaire de pédocriminalité, qu'ils qualifient presque toujours bêtement de pédophilie.
En effet, combien de fois voit-on par exemple les médias dirent "victime de pédophile", ou "il a été arrêté pour pédophilie", au lieu de dire pédosexuel ou pédocriminel. Voici donc un exemple de névrose de conversion, les victimes disent souvent qu'elles ont été victime d'un "pédophile", même quand il s'agit d'un père incestueux qui n'est peut-être même pas pédophile. Par la force de persuasion des médias, les gens associent désormais la pédophilie au mot victime et au mot abuseur. Quand on est victime d'abus sexuel en étant enfant, on ne dit presque jamais victime d'un violeur, d'un sadique, d'un psychopathe, d'un incestueux, on dit victime de pédophile. Cela crée souvent des confusions, parfois graves comme un syndrôme de faux souvenirs.
3) Syndrôme de faux souvenirs
Une névrose de conversion peut avoir pour conséquences, un syndrome de faux souvenirs. Une non-victime peut par exemple adopter le point de vu d'une victime et du coup, en quelque sorte à force d'empathie et d'y penser, ressentir ce qu'elle aurait ressenti si l'abus sexuel, lui était vraiment arrivé. Si une personne, comme un psychanalyste, se met à croire que le problème de son patient vient d'un abus sexuel, il peut alors inciter le patient à y réflechir et à force de trop y réflechir, il ne fera pas ressurgir des souvenirs refoulés et douloureux (puisqu'il n'y en a pas), il fera surgir des faux souvenirs. Car le patient se mettra alors à ressentir ce qui lui serait arrivé si il avait été abusé et peut après ne plus faire la différence entre le vrai et le faux, surtout si le psychanalyste le persuade que son problème viendrait bien de ce soit disant abus. La fausse victime va alors y voir de faux liens, qu'elle va croire vrais et encore plus y croire. Elle va aborder dans ce sens et de plus en plus y croire et plus elle va y croire plus elle va adopter le point de vue de son "moi" victime et à ressentir les effets d'abus sexuels bien qu'ils soient imaginaires. Et après, plus la fausse victime va ressentir ces effets plus elle va s'autopersuader d'être une victime et ainsi de suite.
4) Victime par persuasion
Un exemple de névrose de convertion qui est particulière intéressant. Une affaire de voyeurisme.
Un couple a été filmé à leur insu dans leur domicile par un voisin qui avait installé et caché des caméras un peu partout dans la maison. Loin de moi, l'idée de défendre ce genre de voyeurisme, mais il y a une chose qui est quand même surprenante. C'est que tout allait bien pour le couple, jusqu'au jour où ils ont trouvé les caméras et compris qu'ils ont été filmés nus et faisant l'amour. Si le mari était plutôt en colère, car le voisin voulait surtout espionner sa femme, cette dernière s'est mise à éprouver un sentiment de malaise comme si on l'avait violée. Il suffit que le mari sache que ce n'était pas lui qui était visé pour qu'il ne ressente que de la colère, pourtant lui aussi a été filmé à son insu et nu. Et il suffit que la femme sache qu'elle a été filmée nue pour se mettre dans la peau d'une victime, alors qu'elle aurait pu ne jamais s'en rendre compte et n'en ressentir absolument aucune conséquence. Comme quoi, le simple fait de croire, certes sous un prétexte malhonnête, avoir été victime suffit à en déclencher les conséquences. Il s'agit donc d'une victime par persuasion.
Il peut arriver le même genre de chose avec certains cas de rapports sexuels précoces (ou jugés précoces). Par exemple, une adolescente qui perd sa virginité à 13ans avec un rapport sexuel consentant (c'est rare, mais ça arrive). Cette adolescente peut très bien vivre cette expérience normalement, si elle était assez mature et assez structurée pour pouvoir apprécier le rapport sexuel. On rappelle que chacun découvre la sexualité à son rythme. Mais imaginons que les parents l'apprennent, paniquent, considérent que leurs filles est une victimes d'abus voir de viols, surtout qu'il est rare que la majorité sexuelle soit à 13ans (elle est très souvent plus haute). L'adolescente peut développer une névrose de conversion, convertie par la réaction de panique de ses parents. Elle peut alors se mettre à paniquer à cause de l'influence de ses parents et sa panique peut alors modifier son point de vue vis à vis du rapport sexuel qu'elle a vécu. Un point de vue déformé de ce qu'elle ressentait en réalité et qu'elle n'aurait jamais adopté si l'hystérie collectives des parents (ou autres) ne l'avait pas influencé voir obligé à le faire. L'adolescente pourrait très bien en effet adopter le point de vue de son entourage, notamment des parents avec lesquels elle vit, pour s'adapter à l'atmosphère dans lequel elle vit et par instinct de conservation en quelque sorte qui pourrait consister à adopter le même point de vue que les autres afin de mieux s'intégrer et qui n'adopte pas un certain point de vue avant de voir un autre le faire (phénomène fréquemment observé). On a donc aussi là, un cas de victime par persuasion.
Pour plus de détails, je vous recommande de lire le dossier M.7.2, consacré aux trauma névrotiques.
5) L'hystérie collective chez les psy
Les névroses de couversion modifient donc le point de vue des gens et malheureusement aussi ceux qui sont censés rester objectifs. C'est à dire les psychologues, sexologues et autres thérapeutes. Pas tous au même point heureusement. Mais l'influence des médias qui influent sur les gens, influent forcément un minimum aussi sur ceux qui essayent de ne pas trop se laisser influencer et de rester le plus neutre possible. En effet, même une partie (selon moi non négligeable) de thérapeutes associent sans cesse la pédophilie aux abus et aux viols sur enfants. Certains qui ont des patients pédophiles, insistent sur leurs activités et leur demandent souvent si ils sont dans la légalité. Certains vont jusqu'à carrément refuser les pédophiles, considérant qu'ils sont tous dangereux. Cette hystérie collective est partiellement justifiée, car en effet, les prédateurs sexuels sont partout ou les compulsifs ou les individus quelconque potentiellement dangereux, mais elle est aussi exacerbée au point de rendre certains thérapeutes incompétents et les gens voient alors le mal facilement.
Une citation intéressante que j'ai trouvée : La quasi totalité des psychologues ne sont rien que des policiers de la pensée au service d'une société qui a érigé ses propres névroses obsessionnelles - la violence et la destruction - en moyen et en but. Que peut un honnête homme attendre de pareils énergumènes? Rien, il ne peut que plaindre et aider leurs innombrables victimes.
Effectivement celà illustre plutôt bien, les réactions de ceux qui pourraient vouloir se faire aider par des psychologues, mais ne peuvent pas, en raison du fait que même eux sont fréquemment incompétents et aveuglés par leurs mépris.
Il arrive assez fréquemment qu'un homme calinant et embrassant un enfant soit considéré comme un pédophile et donc un prédateur, car les gens à cause de l'hystérie collective, ne font souvent pas la différence. Bien qu'il faille avouer que les hommes calinant les enfants, surtout quand ce ne sont pas les leurs, sont tout de même rares et qu'une partie d'entre eux, sans aucun doute, sont pédophiles. Mais pédophile ne veut pas forcément dire avec de mauvaises intentions. Sans compter que ceux qui ne sont pas pédophile, sont peut-être comme je le disais dans un autre topic, des pédophiles refoulés, qui ont côté pédophile qui ne s'est pas ou peu développé.
Bien évidemment, le but de tout celà n'est pas d'inciter à ne pas croire tout ceux et celles qui se disent victimes ... non pas de pédophilie, mais de pédosexualité ou de pédocriminalité. Mais de voir la réalité en face, ce genre de névrose existe et a des conséquences.
La société peut des fois victimiser une personne non victime, ce qui caractérise l'hystérie collective. Si on fait croire qu'on est victime et qu'on souffre d'un prétendu abus, c'est bête mais rien que ça, ça peut faire du mal. L'esprit controle le corps comme on dit, si on se croit victime, même sans l'être, on peut ressentir un certain malaise comme si on était victime. La névrose de conversion fonctionne aussi avec les maladies (et donc le mal être), il suffit parfois de se croire malade pour être malade. Donc la société est parfois responsable d'un exces de victimisation à force de mettre des victimes un peu trop partout et à vouloir en voir à tout prix quand le mot pédophile apparait dans l'histoire.
Un extrait que j'ai trouvé quelque part, une interview d'un certain Henri, mais je ne sais plus où, ni qui. Si vous savez, dites moi s'il vous plait :
- Phrase qui me pose problème et que je ne sais pas comment interpréter : choix de ne pas exposer l'enfant aux conséquences d'un passage à l'acte même consentant
- La réponse d’Henri : ils sont tellement respectueux de l’enfant et persuadé que le passage à l’acte ne serait que négatif pour ce dernier qu’ils le réfutent et ne veulent prendre aucun risque pour l’enfant, alors que certains enfants, c’est vrai, peuvent être consentants et ne jugent pas négatif ce genre de situation. Les effets négatifs peuvent être perçus immédiatement après les faits comme ils peuvent être vécues normalement ou ressurgir quelques mois après les faits, quelques années voire jamais. Dans le dernier cas, c’est souvent l’entourage qui peut générer un traumatisme à travers des réactions bien quelles soient légitimes, elles peuvent être traumatisantes pour l’enfant. Un pédophile quand bien même de bonne foi, ne peut pas anticiper les conséquences d’une relation sexuelle avec un enfant lorsque ce dernier devient adulte et les difficultés sexuelles qu’il peut avoir avec ses partenaires.
Dernière édition par Dante (Admin) le Jeu 27 Déc - 18:11, édité 3 fois