Si la pédophilie, la vraie (donc attraction sexuelle et sentiments envers des enfants pour le côté enfant), semble difficile à soigner, les pulsions sexuelles le peuvent en revanche ou du moins, elles peuvent être gérables.
Il est évident que certains pédophiles, mais pas tous attention, souffrent de pulsions sexuelles vis-à-vis des enfants qui les attirent. Ces pulsions peuvent être difficiles à contenir pour certains, car frustrant et augmentant au fur et à mesure que la frustration grandit, augmentant encore les pulsions etc…
Ces pulsions peuvent parfois pousser certains pédophiles à passer à l’acte. On les appelle alors, les pédophiles compulsifs. Ce qui ne veut pas dire que tous les pédophiles compulsifs le font forcément (on peut aussi être compulsif à différent niveau) et ça ne veut pas dire non plus que tous les pédocriminels et prédateurs d’enfants, sont tous des pédophiles compulsifs n’ayant pas pu contenir leurs pulsions.
Il existe néanmoins certains moyens de diminuer ces pulsions.
La première est une aide médicamenteuse. Certains pays, tel le Canada propose il me semble, parfois, une remise en liberté surveillées et sous conditions à certains pédophiles (après une certaine peine), à condition qu’on leur fasse régulièrement une piqûre de substance diminuant la libido, je crois que c’est l’acétate de cyprotérone, également utilisé pour les addictions au sexe. Sinon certains médicaments, antidépresseurs, sont également utilisés, le Prozac et Séroplexe semblent bien fonctionner.
Sinon les pulsions peuvent être, naturellement, moindres. Due à une pédophilie secondaire, qui fait que les pulsions peuvent être soulagées plus facilement ou compensée. Ou une exploitation de sexualité moindre, réduisant les désirs du pédophile et lui permettant d’être satisfait plus facilement.
La difficulté peut venir du fait qu'un pédophile doit de préférence se contenter de peu, et encore, ça dépend de son point de vu. Certains jeux de contacts physiques peuvent, de son point de vu, être beaucoup. C'est peu pour un hétérosexuel ou homosexuel qui eux vont jusqu'à l'accouplement, mais du point de vu d'un pédophile qui s'est toujours contenter de peu voir de presque rien, des contacts physiques fréquents peuvent lui paraitre être une aubaine et le combler.
Les pauvres qui n'ont pas beaucoup de moyens de s'offrir certaines choses, sont des fois bien plus heureux que des riches qui eux peuvent s'offrir ce qu'ils veulent et ne se refusent rien. Parce que les pauvres quand ils ont une friandise qu'ils ne peuvent que rarement s'offrir, ils la savourent du coup bien plus qu'un riche qui lui s'en offre quand il veut et qui donc ne l'apprécie que moins, voir en voudra toujours plus tandis que le pauvre sera heureux d'avoir eu sa friandise.
Le même principe s'applique en ce qui concerne le plaisir sexuel.
Etre compulsif, c'est tout bêtement avoir des pulsions et des envies de sexe trop fortes et difficilement contrôlables. Certains pédophiles ont une libido trop élevée par exemple ce qui les poussent à rechercher l'accouplement (ce qui se termine parfois par un viol) avec les enfants qui les attirent sexuellement. En revanche beaucoup de pédophiles n'exploitent que peu leur sexualité, parce qu'ils ont conscience du mal éventuel qu'ils pourraient faire aux enfants (bien qu’il puisse y avoir d’autres raisons), ce qui a parfois pour conséquence qu'ils aient une libido particulièrement limitée, voir endormie (il y a un syndrome qui explique ça, voir plus tard).
Donc ceux qui ne sont jamais passé à l'acte, ils peuvent ne pas éprouver le besoin de passer à l'acte au point de s'en détruire. Puisque ils ne l'ont jamais fait, ça ne va donc pas les manquer, si ils ne savent même pas ce que c'est. Donc beaucoup de personnes qui ne sont pas passé à l'acte, sont capables de se contenter de ce qu'un enfant lui aura donné, de simples calins, bisous, complicité...
Mais effectivement, les pédophiles compulsifs, il y en a, et leur attraction, surtout quand elle ne leur parait pas naturelle, est un véritable enfer qui gâche leur vie. Le besoin de passer à l'acte peut venir aussi du fait qu'ils y sont plus ou moins dépendant, soit parce qu'ils l'ont déjà fait et ont besoin de recommencer et de renouveler l'expérience du plaisir que ça apporte, après l'avoir découvert une fois. Soit il peut aussi parfois s'agir de névrosés qui utilisent des images ou des vidéos, légales ou non, mais qui cherchent sans cesse à amplifier le désir et l'exploitation de leur désir sexuel via ses images ou vidéos et qui en arrivent à l'insatisfaction chronique et la frustration d'en vouloir toujours plus. Et en vouloir toujours plus implique de ne plus avoir la possibilité de se satisfaire avec des simples vidéos et images et donc rechercher le contact physique, parfois inapproprié, voir la mise en pratique des images et vidéos si c'est de la pédopornographie par exemple. Mais le rapport établi que l'individu aura avec un enfant sera plus ou moins approprié, suivant, le degré de ses pulsions, ses besoins et des sentiments et respect qu'il a pour les enfants qui l'attirent. Je précise que cela n'arrive pas à tous les pédophiles, fort heureusement.
Le centre du plaisir du cerveau est l’hypophyse. Le sexe peut parfois agir comme une drogue. Une fois qu’on y goûte, on veut y goûter encore et à force l’hypophyse peut réclamer sa dose, qu’il a l’habitude de recevoir. Mais dans le cas d’une personne n’ayant pas ou peu essayé la drogue, celle-ci, lui manquera moins, et l’individu aura moins de chance d’être dépendant au point de faire des bêtises (comme voler pour payer sa dose). Un individu, même pédophile, ça peut fonctionner un peu pareil. Bien qu’il n’y ait pas besoin de gouter aux plaisirs sexuels pour être tenter, car on l’est généralement naturellement (sauf pour les cas plus ou moins asexuels et encore). Mais plus un pédophile s’habitue aux plaisirs sexuels, plus il en voudra encore et plus il saura frustré de ne pas avoir sa dose, au point de faire des bêtises (comme abuser d’enfants). Notamment si c’est un pédophile exclusif (n’aimant que les enfants).
Il est évident que certains pédophiles, mais pas tous attention, souffrent de pulsions sexuelles vis-à-vis des enfants qui les attirent. Ces pulsions peuvent être difficiles à contenir pour certains, car frustrant et augmentant au fur et à mesure que la frustration grandit, augmentant encore les pulsions etc…
Ces pulsions peuvent parfois pousser certains pédophiles à passer à l’acte. On les appelle alors, les pédophiles compulsifs. Ce qui ne veut pas dire que tous les pédophiles compulsifs le font forcément (on peut aussi être compulsif à différent niveau) et ça ne veut pas dire non plus que tous les pédocriminels et prédateurs d’enfants, sont tous des pédophiles compulsifs n’ayant pas pu contenir leurs pulsions.
Il existe néanmoins certains moyens de diminuer ces pulsions.
La première est une aide médicamenteuse. Certains pays, tel le Canada propose il me semble, parfois, une remise en liberté surveillées et sous conditions à certains pédophiles (après une certaine peine), à condition qu’on leur fasse régulièrement une piqûre de substance diminuant la libido, je crois que c’est l’acétate de cyprotérone, également utilisé pour les addictions au sexe. Sinon certains médicaments, antidépresseurs, sont également utilisés, le Prozac et Séroplexe semblent bien fonctionner.
Sinon les pulsions peuvent être, naturellement, moindres. Due à une pédophilie secondaire, qui fait que les pulsions peuvent être soulagées plus facilement ou compensée. Ou une exploitation de sexualité moindre, réduisant les désirs du pédophile et lui permettant d’être satisfait plus facilement.
La difficulté peut venir du fait qu'un pédophile doit de préférence se contenter de peu, et encore, ça dépend de son point de vu. Certains jeux de contacts physiques peuvent, de son point de vu, être beaucoup. C'est peu pour un hétérosexuel ou homosexuel qui eux vont jusqu'à l'accouplement, mais du point de vu d'un pédophile qui s'est toujours contenter de peu voir de presque rien, des contacts physiques fréquents peuvent lui paraitre être une aubaine et le combler.
Les pauvres qui n'ont pas beaucoup de moyens de s'offrir certaines choses, sont des fois bien plus heureux que des riches qui eux peuvent s'offrir ce qu'ils veulent et ne se refusent rien. Parce que les pauvres quand ils ont une friandise qu'ils ne peuvent que rarement s'offrir, ils la savourent du coup bien plus qu'un riche qui lui s'en offre quand il veut et qui donc ne l'apprécie que moins, voir en voudra toujours plus tandis que le pauvre sera heureux d'avoir eu sa friandise.
Le même principe s'applique en ce qui concerne le plaisir sexuel.
Etre compulsif, c'est tout bêtement avoir des pulsions et des envies de sexe trop fortes et difficilement contrôlables. Certains pédophiles ont une libido trop élevée par exemple ce qui les poussent à rechercher l'accouplement (ce qui se termine parfois par un viol) avec les enfants qui les attirent sexuellement. En revanche beaucoup de pédophiles n'exploitent que peu leur sexualité, parce qu'ils ont conscience du mal éventuel qu'ils pourraient faire aux enfants (bien qu’il puisse y avoir d’autres raisons), ce qui a parfois pour conséquence qu'ils aient une libido particulièrement limitée, voir endormie (il y a un syndrome qui explique ça, voir plus tard).
Donc ceux qui ne sont jamais passé à l'acte, ils peuvent ne pas éprouver le besoin de passer à l'acte au point de s'en détruire. Puisque ils ne l'ont jamais fait, ça ne va donc pas les manquer, si ils ne savent même pas ce que c'est. Donc beaucoup de personnes qui ne sont pas passé à l'acte, sont capables de se contenter de ce qu'un enfant lui aura donné, de simples calins, bisous, complicité...
Mais effectivement, les pédophiles compulsifs, il y en a, et leur attraction, surtout quand elle ne leur parait pas naturelle, est un véritable enfer qui gâche leur vie. Le besoin de passer à l'acte peut venir aussi du fait qu'ils y sont plus ou moins dépendant, soit parce qu'ils l'ont déjà fait et ont besoin de recommencer et de renouveler l'expérience du plaisir que ça apporte, après l'avoir découvert une fois. Soit il peut aussi parfois s'agir de névrosés qui utilisent des images ou des vidéos, légales ou non, mais qui cherchent sans cesse à amplifier le désir et l'exploitation de leur désir sexuel via ses images ou vidéos et qui en arrivent à l'insatisfaction chronique et la frustration d'en vouloir toujours plus. Et en vouloir toujours plus implique de ne plus avoir la possibilité de se satisfaire avec des simples vidéos et images et donc rechercher le contact physique, parfois inapproprié, voir la mise en pratique des images et vidéos si c'est de la pédopornographie par exemple. Mais le rapport établi que l'individu aura avec un enfant sera plus ou moins approprié, suivant, le degré de ses pulsions, ses besoins et des sentiments et respect qu'il a pour les enfants qui l'attirent. Je précise que cela n'arrive pas à tous les pédophiles, fort heureusement.
Le centre du plaisir du cerveau est l’hypophyse. Le sexe peut parfois agir comme une drogue. Une fois qu’on y goûte, on veut y goûter encore et à force l’hypophyse peut réclamer sa dose, qu’il a l’habitude de recevoir. Mais dans le cas d’une personne n’ayant pas ou peu essayé la drogue, celle-ci, lui manquera moins, et l’individu aura moins de chance d’être dépendant au point de faire des bêtises (comme voler pour payer sa dose). Un individu, même pédophile, ça peut fonctionner un peu pareil. Bien qu’il n’y ait pas besoin de gouter aux plaisirs sexuels pour être tenter, car on l’est généralement naturellement (sauf pour les cas plus ou moins asexuels et encore). Mais plus un pédophile s’habitue aux plaisirs sexuels, plus il en voudra encore et plus il saura frustré de ne pas avoir sa dose, au point de faire des bêtises (comme abuser d’enfants). Notamment si c’est un pédophile exclusif (n’aimant que les enfants).
Dernière édition par Dante (Admin) le Ven 22 Juil - 14:49, édité 1 fois