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N.1-L'homosexualité - L'évolution de l'homosexualité

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Dante (Admin)

Dante (Admin)
Admin

L'homosexualité aujourd'hui est bien plus acceptée qu'il n'y a pas si longtemps encore. L'homosexualité existe pourtant depuis la Grèce antique. Pourtant la repression de l'homosexualité a fait rage il y a quelques décennies. De nombreux religieux l'interdisent encore de nos jours. Beaucoup moins dans les pays industrialisés que les pays du tiers monde. Notamment parce que les pays du tiers monde sont beaucoup plus religieux que les pays industrialisés qui ont abandonné progressivement le point de vue religieux et l'ont remplacé par le point de vue scientifique qui a permis l'industrialisation.

Mais sinon, en plus de la religion, qu'est-ce qui fait obstacle à l'acceptation de l'homosexualité?

1) La culture

En effet suivant la culture, le point de vue des gens sur l'homosexualité diffère. Il n'y a qu'à voir à la Grèce antique, où l'homosexualité était bien répandue, tout comme la pédérastie, leur culture était différente.  
Il n'y a qu'à voir aussi la différence de point de vue sur les homosexuels dans les pays riches ou les pays pauvres où l'homosexualité est fréquemment interdite voir punie de la peine de mort. Comme dit plus haut, l'homosexualité est surtout désormais acceptée dans les pays plus industrialisés et donc moins religieux. La religion fait partie de la culture.
La culture apporte son gros lot d'influences sur la population de part ce qu'elle considère comme normale, comme anormale, comme conforme aux lois (de dieu?) etc...  La culture a aussi un rôle prépondérant sur la façon dont les parents éduquent leurs enfants. Les parents éduquent souvent leurs enfants en se basant sur leur propre culture qui a ses normes et ses règles.  Si des enfants sont élevés par des parents homophobes qui insistent bien sur l'anomalie de l'homosexualité, l'enfant a des chances d'adopter leur point de vue, de grandir avec et de l'intégrer à sa personnalité. On peut prendre pour exemple, Marine Le Pen, même si son discours diffère un peu de son père Jean Marie Le Pen, le fond est similaire et il ne fait aucun doute que le point de vue du père a exercé une forte influence sur celui de la fille. Cela arrive souvent à un enfant de devenir homophobe, si il a lui même eu des parents homophobes. Surtout si il grandit dans un milieu culturel et homophobe qui s'étend jusqu'au milieu scolaire, les instituteurs adultes qui exercent eux aussi une forte influence sur les enfants notamment parce qu'ils sont adultes et  en plus censés être détenteurs du savoir aux yeux des enfants. Bien évidemment il y a aussi les camarades de classe. Si eux même sont élevés de façon à être homophobes, ils s'influenceront entre eux et leur homophobie les uniront et renforceront leurs liens.

Si on prend un exemple similaire comme le racisme envers les noirs, traités en esclaves, comme des sauvages qu'il fallait civiliser. De nos jours, beaucoup d'entre nous se disent des choses comme "quelle horreur, les gens étaient vraiment odieux à l'époque, les pauvres noirs". Mais il ne faut pas se leurrer, si nous étions nés un siècle ou deux plus tôt, voir quelques décennies plus tôt, beaucoup d'entre nous auraient été racistes, car nous aurions été éduqués ainsi, selon les normes de la culture de l'époque.

2) La différence et la normalité

L'homosexualité est une différence. Ce qui est différent provoque souvent la peur et envie de rejet. Nous, en tant qu'humain, nous avons besoin de nous sentir en sécurité. Pour cela, il faut que nous vivions en harmonie. Mais celui qui est différent, qui a une culture différente, des goûts différents, des pensées différentes voir tout bêtement une couleur de peau différente, perturbe l'harmonie et la menace aux yeux du groupe. Cela incite au rejet et aujourd'hui, c'est devenu un instinct de survie. La preuve en est que les enfants sont les premiers à rejeter et stigmatiser quelqu'un de différent, sans forcément que les parents ne les influencent.

Savez vous quel est le  sentiment qui fait particulièrement souffrir et qui fait très peur? Probablement celui qui fait le plus peur?
C'est le doute
. Celui qui est différent a tendance à semer le doute dans le groupe. Dans un groupe pour nous sentir en sécurité et en harmonie, nous avons tendance à établir un périmètre de normalité et en exclure tout ce qui ne rentre pas de ce périmètre. Mais celui qui est différent et hors norme vis à vis du groupe, sème alors le doute au sein de ce groupe. Et très souvent comme le doute fait très peur, généralement les gens préfèrent fuir la cause du doute en la rejetant, en la mettant à l'écart, au lieu d'y réfléchir et essayer éventuellement de redéfinir leurs règles de normalité.  Il est en effet difficile pour la plupart des gens de se remettre en question.

Pour que l'harmonie et le sentiment de sécurité perdurent, le groupe a alors tendance à rejeter celui qui met l'harmonie en péril. Mais celà est aussi lié à la culture, évoquée dans la partie 1) précédente. C'est souvent la culture qui définit les normes et les lois. Changer le périmètre de normalité, c'est toucher et modifier la culture de tout un groupe et parfois toute une civilisation, ce qui n'est pas chose facile.

Si vous parlez à un homophobe endurci et essayez de le raisonner avec les meilleurs arguments du monde, riches, constructifs, détaillés contrant chacun des arguments que l'homophobe aura. Pensez vous qu'il va se résigner et changer de point de vue? Les trois quarts du temps, non. Les gens ne se laissent presque jamais convaincre de ce qu'ils ne veulent pas entendre, de ce qui modifierait leur point de vue sur les normes qui leur permet de mieux se sentir en sécurité et de ne pas douter. Pour que les gens changent, il faut surtout que ce soient les influences qui changent, les règles de normalité qui changent et qui exerceront alors une influence différentes et redéfiniront ce qui est normal ou pas, en bref il faut que la culture change et qu'il accepte de renoncer à certains mécanismes psychiques qui lui permettent de se sentir en sécurité.  Ce qui permettrait en même temps à l'individu de moins douter, par exemple, si l'homosexualité devient aux yeux de tout son entourage quelque chose de normal, il y a de bonnes chances qu'il s'adapte alors à l'atmosphère moins homophobe dans laquelle il évolue et interagit et ne doutera alors pas de la normalité de l'homosexualité si son entourage l'influence pour et considère que c'est une normalité. Cela dit, il y a d'autres facteurs qui peuvent empêcher un homophobe de mieux accepter l'homosexualité.

3) L'impossibilité de se reproduire

Ou plutôt en fait, le fait que cela ne soit supposé, pas naturel. Il parait naturellement évident que la nature ait fait en sorte à ce que les hommes et les femmes soient attirés l'un vers l'autre afin de mieux permettre la reproduction. Deux individus du même sexe ne peuvent donc pas se reproduire, seul un homme mature peut féconder une femme. L'homosexualité peut donc provoquer une certaine incompréhension et apparaître comme étant contre-nature, car allant à l'encontre du cour de la nature qui est de se reproduire et donner la vie afin d'assurer la survie de l'espèce.

Certains extrémistes vont même du coup, jusqu'à dire que les homosexuels mettent en péril la survie de l'humanité, car si tout le monde prenait exemple sur eux, nous ne nous reproduirions plus et ce serait l'extinction de l'humanité. C'est aussi l'une des raisons qui font que certains religieux sont particulièrement hostiles envers les homosexuels, car la religion prône souvent la reproduction, voir l'interdiction des rapports sexuels si ce n'est pas pour féconder une femme, car ce serait gâcher la semence de dieu.  

Celà dit, on a constaté que l'homosexualité existait chez de nombreuses espèces d'animaux. Bien que celà soit difficilement comparable. Les animaux fonctionnent surtout à l'instinct et obéissent à leur libido. Contrairement aux humains, ils n'ont pas de fantasmes car aucune pensées qui s'exprimeraient à travers un language. Voir aussi le sujet sur la pédophilie des animaux : https://adep.1fr1.net/t6-b1-la-pedophilie-est-elle-naturelle-la-pedophilie-chez-les-animaux
Et surtout les homosexuels ne sont pas du tout forcément stériles. Leur sperme est tout aussi fécond que les spermes des hétérosexuels, ne faisant du coup, pas du tout d'eux des menaces contre l'humanité, puisqu'ils peuvent se reproduire quand même, généralement différente de la façon de se reproduire des hétérosexuels, mais celà n'empêche en rien de faire des enfants en bonne santé, voir en meilleurs santé si les embryons sont obtenus avec du sperme de bonne qualité et un ovule de bonne qualité, ce qui ne plait bien évidemment pas trop aux religieux non plus, notamment les plus extrêmes qui exigent des gens qu'ils s'accouplent pour se reproduire et uniquement pour se reproduire, car c'est écrit dans les textes où que celà gâche la semence de dieu.

Le fait que l'homosexualité ne soit pas considérée comme étant naturelle, a fait supposer que c'était une maladie.

4) La maladie supposée

Un détail qui prête à rire, même si il n'y a pourtant pas de quoi rigoler, sur l'évolution de l'homosexualité. C'est qu'à une époque, quand elle était fortement réprimée et méprisée. Les médecins spécialistes, disaient en grande majorité, que l'homosexualité était une maladie. Aujourd'hui, maintenant que l'homosexualité est mieux acceptée, les médecins ne la considèrent pratiquement plus comme une maladie. En bref, les médecins, censés être scientifiques et objectifs, se sont visiblement pliés au point de vue culturel en laissant le peuple suivant sa culture, décider si l'homosexualité devait être une maladie ou pas.
L'homosexualité a-t-elle changé au fil du temps pour être considérée comme normale alors qu'elle était considérée comme une maladie mentale soignable avant? Ce n'est pas l'homosexualité qui a changé, mais la culture. Est-ce pourtant à la culture et au peuple de décider de ce que doit être une maladie ou pas? N'était-ce pas le rôle des médecins et des chercheurs de comprendre et définir la limite entre la maladie et la normalité? Ce sont les règles de normalité qui ont changé, elles même liées à la culture. Aujourd'hui il est même presque carrément interdit de dire que l'homosexualité est une maladie. Quand on parle d'homosexualité, on est diabolisé si on dit autre chose que l'homosexualité, c'est de l'amour et c'est beau.

Pourtant qu'en est-il réellement de l'homosexualité? A l'époque où l'on disait bêtement que c'était une maladie, y a-t-on réfléchi avant d'en faire une telle déduction? De nos jours, où  l'on dit souvent exactement le contraire, y a-t-on ce coup-ci réfléchi, pareil avant d'en déduire l'exact contraire d'il y a pas si longtemps? La réponse est clairement non. Car, comme expliqué plus haut, c'est seulement la culture qui a changé et redéfini ses normes arbitraires, définies par le peuple et non les médecins et chercheurs qui étaient censés trouver les vraies réponses et qui n'ont à l'évidence pas du tout chercher et qui se plient aux normes et aux moralités culturelles.

En effet, certains homosexuels semblent aimer les hommes, par besoin de se féminiser. J'insiste bien sur le mot "certains", tout comme il existe de nombreuses variantes entre les hétérosexuels et même les pédophiles (voir la classification des pédophiles dans le sujet suivant : https://adep.1fr1.net/f10-e-les-differents-types-de-pedophiles) , il existe aussi toutes sortes de variantes entre les homosexuels. Si il est fort probable que de nombreux homosexuels soient naturellement attirés par les hommes, en fait par la masculinité, d'autres ne seraient-ils pas plus ou moins des cas pathologiques? Toujours dans le même exemple, un individu de sexe masculin, avec des cellules males qui cherche à se féminiser et qui se sent plus ou moins comme une femme ne serait-il pas en quelque sorte sinon malade, du moins troublé? N'aurait-il pas quelque part un trouble de l'identification sexuelle? Certains individus hermaphrodites ou transsexuels qui ont des cellules voir des organes génitaux males et femelles oscillent fréquemment entre besoin de se féminiser et besoin de se masculiniser et ont des difficultés, voir des troubles, pour s'intégrer étant donné qu'eux même ne savent parfois pas trop où se situer? Ne pourrait-on pas y faire certaines analogies avec les homosexuels efféminés, ou les homosexuelles cherchant à se masculiniser?


Certains autres homosexuels ne seraient-ils pas non plus parfois, des individus qui ont un blocage psychologique envers les femmes? Un traumatisme envers la féminité, une mauvaise image de la féminité structurelle? Ou parfois même une phobie envers les vagins? Qu'ils compensent alors par une attraction sexuelle envers les hommes? Pour ces cas d'homosexuels là, et il en existe c'est certains, on devrait les considérer comme des cas pathologiques. Certes, à priori ils ne font de mal à personne en étant homosexuels, mais ce genre de cas est donc soignable. Si on traite la phobie de l'individu envers les femmes par exemple, voir le traumatisme, il pourrait passer outre et se retrouver attirer par les femmes, probablement bien plus qu'il n'a jamais été par les hommes. Il s'agit donc de cas pathologiques, où l'homosexualité de l'individu est essentiellement structurelle et modifiable si on traite la cause sous-jacente qui a dévié l'individu.

5) Le modèle parental

Un autre problème qui fait encore beaucoup débat de nos jours sur l'homosexualité, c'est le modèle parental. L'image que deux homosexuel(le)s renvoient à leurs enfants. Les discours sont variés à ce niveau, mais on entend surtout des paroles du style :
"Un enfant doit avoir un papa et une maman, pas deux mamans ou deux papas, sinon il sera instable, ses camarades se moqueront de lui..."
Ou "Si certains enfants n'ont qu'une maman seule, pourquoi pas des enfants avec deux papas? L'homosexualité n'empêche pas d'être de bons parents."


Le débat met une fois de plus partiellement en valeur l'importance de la culture. En effet de nos jours, on considère souvent qu'un enfant qui n'a qu'une maman peut très bien être élevé dans de bonnes conditions. Tandis que les enfants qui n'ont qu'un père et pas de maman, c'est plutôt controversé. Il est en effet bien fréquent que lors des affaires d'attribution de garde entre parents divorcés, ce soit la mère qui ait gain de cause.

Certains experts, dont Pierre Mailloux, affirment des choses comme, "les mères sont très importantes et doivent prendre très au sérieux leur rôle de mère. Les pères sont importants aussi mais moins". Pourtant c'est faux. Souvent les mères sont considérées et ont effectivement un rôle plus important que les pères, mais il s'agit une fois de plus d'un amalgame culturel. L'image de la mère plus importante que le père est effectivement culturel. Pourtant de nombreuses études et expériences ont prouvés que quand une mère n'avait pas un instinct maternelle très développé et n'était pas très attentionnée, le père pouvait très bien compenser le manque de la mère sans que cela ne fasse aucune différence pour l'enfant. Les mères ont souvent effectivement un instinct parental bien plus fort que les pères. Mais cela n'empêche pas qu'il y ait des couples de parents où c'est le père qui assure plus la fonction parentale que la mère et l'enfant n'en est nullement affecté, tant qu'il reçoit l'attention et les soins nécessaires à son épanouissement.

En revanche, il vaut quand même mieux pour les enfants qu'ils grandissent avec un modèle parental féminin et un modèle parental masculin. Ce n'est pas très important lequel assure le plus la fonction parentale, mais il vaut mieux que l'enfant grandisse avec une influence féminine et une influence masculine afin de lui assurer une meilleure identification sexuelle qui s'étend durant toute l'enfance (bien que le plus gros soit aux alentours de 3/5ans), afin que cette identification soit moins compliquée et lui assurer une meilleure intégrité.

Mais les arguments des plus extrémistes, comme "les homosexuels ne sont pas équilibrés, donc de mauvais parents" ou "les homosexuels donnent le mauvais exemple aux enfants" sont bien évidemment des amalgames. Certains homosexuels évidemment ont des problèmes d'identification sexuelle mais ce n'est pas du tout leur cas à tous et les hétérosexuels ont parfois ce même genre de problème aussi. Et ce problème n'a pas forcément un impact mauvais sur les enfants, car cela dépend encore d'autres facteurs, comme la façon du parent à mettre en valeur son problème d'identification sexuelle et sa stabilité émotionnelle, notamment en présence et vis à vis de l'enfant. Sinon les homosexuels qui sont attirés par la masculinité et qui vivent donc une relation gay harmonieuse, n'ont aucune raison d'être déséquilibrés et donc de ne pas être de bons parents, notamment si ils ont un fort instinct parental et ils n'en ont ni plus ni moins que n'importe qui.
Quand à l'exemple donné aux enfants, un exemple différent n'en est pas forcément moins bon, voir cela permet à l'enfant d'être plus ouvert d'esprit et donc de mieux s'intégrer et mieux accepter les gens sans les juger pour leurs différences (notamment celles qui ne se choisissent pas). L'exemple de deux hommes, s'aimants et se respectant, reste un bon exemple d'intégrité à suivre pour les enfants. Certains extrémistes vont jusqu'à dire que l'homosexualité des parents est contagieuse sur les enfants, ce qui est bien évidemment faux. Certes les enfants suivent l'exemple de leurs parents et leur entourage, mais le développement sexuel se fait aussi suivant les gènes, la structuration de l'enfant et de son identification sexuelle. Si l'ensemble de l'identification et la structuration sont harmonieux, donnés par de bons parents et un bon entourage, l'enfant se développera de manière harmonieuse et deviendra ce qu'il deviendra suivant ses gouts et ses besoins qu'il aura développé lui même et non en suivant un exemple de gouts et de besoins qu'on lui montre mais qui ne sont pas du tout forcément les siens. Après tout ce n'est pas parce que ses parents aiment le fromage que l'enfant aimera le fromage aussi.

6) Le besoin de haïr et de mépriser

Comme partiellement expliqué dans la partie 2), le fait de mettre à l'écart les différents permet à ceux qui rentrent dans le périmètre de la normalité de mieux vivre en harmonie, de se sentir en sécurité, mais aussi de renforcer les liens entre eux. Durant une certaine période, les homosexuels étaient certainement les plus sacrifiés et plus mis à l'écart, alors qu'à d'autres époques, c'étaient les femmes, les noirs, les indiens, les juifs, les protestants, les lépreux...
Mais le besoin de haïr et de mépriser les homosexuels est assez similaire à la haine envers les pédophiles. Voir le sujet suivant sur les antipédophiles :
https://adep.1fr1.net/t38-h2-points-de-vu-des-gens-points-de-vu-des-antipedophiles

A priori, les homosexuels n'étaient pas détestés pour les mêmes raisons que les pédophiles sont détestés de nos jours. Pourtant on peut trouver certains points communs, non pas entre les pédophiles et les homosexuels (et encore...) mais dans les raisons de les haïr. Voir le sujet N.3 sur la comparaison entre les pédophiles et les homosexuels : https://adep.1fr1.net/t74-n3-l-homosexualite-comparaison-pedophilie-et-homosexualite

On rajoutera juste aussi que les fantasmes de se sentir supérieur ou de haïr sont très fréquents. De nombreux individus prennent plaisir à s'imaginer qu'ils tuent et à se sentir supérieurs à ceux dont ils prônent le mépris, voir la mort. Le but des homophobes notamment à l'époque où l'homophobie était très répandue n'était généralement pas d'exterminer ceux qu'ils disaient hair, mais surtout passer leurs nerfs sur eux et ressentir une certaine folie des grandeurs à s'auto-persuader d'être au dessus des autres. Eux mêmes n'en sont peut-être pas conscients, mais si les homosexuels devaient disparaître, certains homophobes seraient heureux, mais pas pour longtemps, le fait de ne plus avoir la possibilité de soulager leur besoin de haine et de mépriser les pousseront à vite recommencer à haïr d'autres individus.

7) La névrose de conversion

Beaucoup d'homophobes haïssent les homosexuels car ils sont dégoutés d'imaginer que deux hommes ou deux femmes s'embrassent et font l'amour. Ils imaginent les rapports homosexuels et cela leur inspire du dégout et de l'incompréhension car leurs gouts et fantasmes sont différents et ne correspondent pas à ceux des homosexuels.

Pourtant la plupart des homosexuels ne demandent pas à être compris et encore moins à ce que les autres adoptent leurs critères d'attraction et leurs pratiques. Il est néanmoins vrai que l'on accepte mieux  ce que l'on comprend. Ce qui a causé des difficultés dans l'acceptation des homosexuels. Pourtant comprendre ne veut pas dire qu'on approuve et qu'on accepte et nous pouvons très bien accepter ce que l'on ne comprend pas. Par exemple, on peut accepter le fait qu'une personne adore les choux de Bruxelles, alors que nous ne comprenons pas (pour ceux qui n'aiment pas ça) comment ils font pour aimer ça. On peut comprendre pourquoi une personne en est arrivé à commettre un meurtre, pour les progrès de la criminologie et la prévention c'est essentiel, ça ne veut pas dire qu'on va tolérer son acte et encore moins l'accepter.

Le dégout que provoque l'homosexualité est plus détaillée dans le topic suivant N.2 : https://adep.1fr1.net/t73-n2-l-homosexualite-tolerance-ou-acceptation

Cool Les homosexuels seraient incapables d'amour

Certains vont jusqu'à dire en effet que les homosexuels ne peuvent pas connaitre le véritable amour en fréquentant un individu de sexe identique. Seul l'amour entre un homme et une femme qui sont à priori complémentaires, pourrait être authentique. Les hétérosexuels ne sont pourtant pas plus une référence que d'autres en matière d'amour. Nombreux d'entre eux ne respectent pas le vrai code de l'amour, à savoir "il ne peut y avoir de véritable amour sans respect". Ce qui vaut pour toutes relations amoureuses, amicales, parentales et autres.

Alors une question se pose maintenant, qu'est-ce qui a permis l'évolution de l'homosexualité? Du mépris et de la maladie à l'acceptation voir admiration et la normalité? La réponse est essentiellement la pédophilie. Voir le sujet suivant N.3 : https://adep.1fr1.net/t74-n3-l-homosexualite-comparaison-pedophilie-et-homosexualite



Dernière édition par Dante (Admin) le Sam 18 Juin - 12:49, édité 4 fois

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Le dossier de ce topic a été posté sur le forum doctissimo, dont voici le lien :

http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/homosexualite-bisexualite/evolution-homosexualite-sujet_176083_1.htm#t2133278

https://adep.1fr1.net

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