On rappelle déjà que les pédocriminels ne passent pas tous à l'acte de la même façon et pour les mêmes raisons. Bien que beaucoup diront qu'ils le font pour se satisfaire sexuellement. Mais ce n'est qu'une version très brève des raisons qui poussent l'individu à passer à l'acte.
On rappelle aussi ce qu'est un pédosexuel :
-Il s'agit d'adultes ayant des relations sexuelles avec des enfants.
Certains disent que pour être pédosexuel, il faut aussi être pédophile, je ne suis pas d'accord. Un pédophile n’est pas nécessairement un pédosexuel ( et tous les pédosexels ne sont pas forcément des pédophiles.
On distingue quatre types de pédosexuels (je précise que cette classification, ce n'est pas moi qui l'ai inventée, mais je la trouve intéressante)
- Les pédosexuels violents, qui n’hésitent pas à recourir à toutes formes de contraintes : violences, menaces, chantage, manipulations…n’éprouvent généralement aucun remords ni aucun sentiment pour l’enfant.
- Les pédosexuels non violents, qui recourent à la ruse et à la séduction et sont indifférents aux conséquences psychologiques sur l’enfant.
- Les pédosexuels dits “de bonne foi“, qui pensent sincèrement que les relations sexuelles que certains enfants « acceptent » d’avoir avec eux ne sont pas néfastes et qui ne mesure pas la nature des risques qu’ils leur font encourir.*
- Les pédosexuels compulsifs, plus ou moins ou même tout à fait conscients du fait que leurs actes sont répréhensibles et peuvent être nuisibles, mais ne peuvent s’empêcher de passer à l’acte.
*Cette phrase : qui pensent sincèrement que les relations sexuelles que certains enfants «acceptent » d’avoir avec eux , Si je comprends bien, c'est de bonne foi qu'ils pensent que l'enfant est ok avec ce qu'ils font ? Mais dans la réalité, l'enfant ne veut pas de cette relation.
-Henri, représentant de l’antenne Suisse de L’ange Bleu : C’est tout à fait correct. Ils ne voient pas les difficultés à avoir des relations avec les enfants et nous retombons dans ce que nous avons dit plus tôt concernant les enfants. Le mot « consentir » ne signifie pas forcément être conscient de la gravité des relations précoces. Mais comme l’enfant n’a pas la même maturité ni le même besoin qu’un adulte sur le plan sexuel, il ne peut ou n’ose pas s’exprimer par crainte ou par honte, le pédopsexuel ne mesure pas les risques dans le cas d’une initiation sexuelle d’un enfant quand bien même en absence de violence. C’est pourquoi la loi protège les enfants des pédosexuels dont les pratiques sont répréhensibles. Malgré leur bonne foi, ces derniers ne peuvent pas anticiper les conséquences et les répercussions sur les enfants à l’âge adulte. Quelque soit la nature de la relation sexuelle avec un enfant, elle relève de la maltraitance sexuelle et devient passible aux sanctions correctionnelles ou pénales.
Personnellement, je ne pense pas que tous les pédosexuels, notamment ceux dit de bonne foi, soient conscients du mal qu'ils font quand ils abusent un enfant, justement parce qu'ils s'autopersuadent sans chercher trop loin de ce qu'ils veulent croire. Mais quand on s'autopersuade, ça peut vouloir dire qu'on y croit bien. Surtout que généralement, on s'autopersuade à la fois de ce qu'on croit et de ce qu'on veut croire. Je veux dire beaucoup de gens s'autopersuadent de ce qu'ils veulent croire. Et ils croient ce qu'ils veulent croire. Conclusion, ils s'autopersuadent souvent de ce qu'ils croient. C'est même parfois (souvent peut être même)inconscient, une façon d'échapper à une réalité qui dérangerait en se disant certaines choses et y croire. Et je le redis en reformulant, certains pédosexuels tiennent à leurs arguments, parce qu'ils pensent ou veulent que ces arguments appuient ce qu'ils veulent penser et de cette façon, ils croient parfois qu'ils ne font rien de mal. Mais ils ne sont pas forcément conscients du fait qu'ils se sont autopersuadé probablement à tord de ce qu'ils pensent avec un raisonnement trop simpliste qu'ils n'ont surement pas poussé assez loin pour se rendre compte qu'il y a peut être des détails sur lesquels ils se trompent. Mais se posent ils la question? Certains oui, mais ils préfèrent peut être ne pas trop y reflechir de crainte de découvrir qu'ils ont peut être tords sur certains points. D'autres ne se posent même pas la question, parce qu'ils pensent que les réponses qu'ils ont sont déjà les bonnes. Et tout ça, ils n'en ont pas forcément conscience, ça se passe dans la tête, on ne fait pas toujours (je dirais même pas souvent) attention à ce qui se passe dans nos têtes. Je pense que souvent on le refoule.
Ils déclarent souvent qu'ils ne savaient pas que l'enfant souffrirait de l'abus. Bien sûr, certains diront ça pour ne pas aggraver leur cas. Dire qu'ils savaient parfaitement ce qu'ils faisaient et qu'ils savaient que l'enfant allaient en souffrir reviendrait presque à admettre qu'ils sont des psychopathes. Mais d'autres y penseront sincèrement et n'étaient effectivement pas conscient dû par exemple peut être au refoulement de leur pensées comme je le disais plus haut qui les ont empeché de voir certaines choses. Certains ont même une vision déformée de la sexualité, ce qui peut aussi les empêcher de se rendre compte qu'ils vont trop loin.
Certains extrêmistes disent que les pédosexuels n'ont jamais de circonstances atténuantes. Si on suit sa logique, alors tous les abus se déroulent tous de la même façon et dans les mêmes circonstances. Mais ce n'est bien évidemment pas le cas et je vais le démontrer.
-Certains abuseurs coercisent les enfants de façon à les amener petit à petit à faire ce qu'ils veulent qu'ils fassent. Certains s'y prennent en douce pour soulager leur conscience car ils se disent que si l'enfant donne son consentement (peut être apparent), ils n'en souffriront que moins voir pas du tout. Au moins ceux là ont une conscience, certes parfois l'enfant ne peut pas donner ce qu'on appelle son consentement éclairé, mais l'abuseur s'en rend il compte? Le fait que ce cas là ait conscience de l'impact que peut avoir un rapport sexuel sur un enfant, c'est une circonstance atténuante. L'age de l'enfant est aussi une circonstance atténuante, car suivant son age, il saura plus ou moins capable de comprendre ce qu'est un rapport sexuel, il saura mieux à quoi il donne son consentement qui sera plus éclairé et l'impact en sera moins fort. Ce qui ne veut pas dire qu'un enfant de 14ans par exemple est forcément prêt à avoir un rapport sexuel, mais il y a de fortes chances pour qu'il le soit plus qu'un enfant de 8ans par exemple. Ca aussi, c'est une circonstance atténuante, si l'abuseur comprend qu'un enfant de 8ans est beaucoup moins apte à apprécier un rapport sexuel qu'un ado de 14ans.
-La loi elle même reconnait qu'un rapport sexuel consentant sur un mineur de moins de 15ans est possible. Celà reste répréhensible pour la sécurité des mineurs, mais quand le mineur a genre 13, 14ans, et suivant les faits, le rapport sexuel avec un adulte ne sera pas considéré comme un abus mais comme une atteinte sexuelle, ce qui est puni bien moins sévèrement qu'un abus. C'est aussi une circonstance atténuante.
-La fréquence des abus aussi. Le fait d'abuser de plusieurs enfants différents et plusieurs fois chacun sont des circonstances aggravantes, ce qui implique que le fait de l'avoir fait qu'une fois sur un seul enfant implique une absence de circonstances aggravantes (même si il y a d'autres circonstances aggravantes que le nombre et la fréquence des abus), donc représente aussi une circonstance atténuante. Surtout si par exemple l'abuseur fréquente plusieurs enfants et qu'il a eu des rapports sexuels qu'avec un seul d'entre eux parce qu'il considérait que les autres n'était pas prêts ou aptes à en avoir.
-Ensuite, il y a jusqu'où va l'abus. Qu'a fait l'abuseur de sexuel avec l'enfant? A t-il eu quelques caresses de façons et à des endroits pas très appropriés? L'a t-il carrément sodomisé? Les deux sont répréhensibles, mais l'un est bien plus punissable et a beaucoup de chances d'avoir un impact bien plus fort sur l'enfant que l'autre. La sodomie peut être une circonstance aggravante, mais dans ce cas, le fait qu'il n'y ait eu que des caresses, c'est une circonstance atténuante.
-Y'a t-il eu violence, chantage ou menace? Si oui, ce sont des circonstances aggravantes. D'autant plus que si l'abuseur a eu recours à un des trois, c'est qu'il était conscient du mal qu'il faisait. Certes ce n'est pas une circonstance atténuante dans le sens propre du terme, mais qui dit absence de circonstance aggravante, dit circonstance atténuante et donc ce n'est pas puni de la même façon.
-L'abuseur est-il vraiment pédophile? Et oui, rien que ça, peu se posent la question, mais pourtant, ça a une certaine importance. Le fait de ne pas être pédophile et donc ne pas souffrir de pulsion et de manque de sexe et de se rabattre quand même sur des enfants, c'est une circonstance aggravante et qui mérite d'être puni bien plus sévèrement qu'un pédophile ayant des pulsions qu'il n'a pas su contenir.
-Et ne pas oublier les victimes abuseurs. De nombreux abuseurs d'enfants sont en fait eux même, des victimes d'abus sexuels durant leur enfance. Certes, tous les abuseurs ne sont pas des victimes et toutes les victimes ne deviennent pas des abuseurs. Mais suivant la façon dont la victime vit son abus sexuel, ce qu'il en ressent, comment il l'interprête, comment il l'intériorise et ensuite l'extériorise etc... Il peut être amené à commettre des abus sur enfant à son tour. Par exemple (un cas parmi d'autres bien différents), certains enfants abusé très jeunes, se retrouvent désorientés et prennent leur abuseur comme modèle, car ils n'en ont pas vraiment eu d'autres et quand on est enfant et qu'on grandit dans cette perspective et cette vision fausse des rapports entre les gens, il est alors possible que la victime reproduise son abus.
[A suivre, car il y en a encore à dire]
On rappelle aussi ce qu'est un pédosexuel :
-Il s'agit d'adultes ayant des relations sexuelles avec des enfants.
Certains disent que pour être pédosexuel, il faut aussi être pédophile, je ne suis pas d'accord. Un pédophile n’est pas nécessairement un pédosexuel ( et tous les pédosexels ne sont pas forcément des pédophiles.
On distingue quatre types de pédosexuels (je précise que cette classification, ce n'est pas moi qui l'ai inventée, mais je la trouve intéressante)
- Les pédosexuels violents, qui n’hésitent pas à recourir à toutes formes de contraintes : violences, menaces, chantage, manipulations…n’éprouvent généralement aucun remords ni aucun sentiment pour l’enfant.
- Les pédosexuels non violents, qui recourent à la ruse et à la séduction et sont indifférents aux conséquences psychologiques sur l’enfant.
- Les pédosexuels dits “de bonne foi“, qui pensent sincèrement que les relations sexuelles que certains enfants « acceptent » d’avoir avec eux ne sont pas néfastes et qui ne mesure pas la nature des risques qu’ils leur font encourir.*
- Les pédosexuels compulsifs, plus ou moins ou même tout à fait conscients du fait que leurs actes sont répréhensibles et peuvent être nuisibles, mais ne peuvent s’empêcher de passer à l’acte.
*Cette phrase : qui pensent sincèrement que les relations sexuelles que certains enfants «acceptent » d’avoir avec eux , Si je comprends bien, c'est de bonne foi qu'ils pensent que l'enfant est ok avec ce qu'ils font ? Mais dans la réalité, l'enfant ne veut pas de cette relation.
-Henri, représentant de l’antenne Suisse de L’ange Bleu : C’est tout à fait correct. Ils ne voient pas les difficultés à avoir des relations avec les enfants et nous retombons dans ce que nous avons dit plus tôt concernant les enfants. Le mot « consentir » ne signifie pas forcément être conscient de la gravité des relations précoces. Mais comme l’enfant n’a pas la même maturité ni le même besoin qu’un adulte sur le plan sexuel, il ne peut ou n’ose pas s’exprimer par crainte ou par honte, le pédopsexuel ne mesure pas les risques dans le cas d’une initiation sexuelle d’un enfant quand bien même en absence de violence. C’est pourquoi la loi protège les enfants des pédosexuels dont les pratiques sont répréhensibles. Malgré leur bonne foi, ces derniers ne peuvent pas anticiper les conséquences et les répercussions sur les enfants à l’âge adulte. Quelque soit la nature de la relation sexuelle avec un enfant, elle relève de la maltraitance sexuelle et devient passible aux sanctions correctionnelles ou pénales.
Personnellement, je ne pense pas que tous les pédosexuels, notamment ceux dit de bonne foi, soient conscients du mal qu'ils font quand ils abusent un enfant, justement parce qu'ils s'autopersuadent sans chercher trop loin de ce qu'ils veulent croire. Mais quand on s'autopersuade, ça peut vouloir dire qu'on y croit bien. Surtout que généralement, on s'autopersuade à la fois de ce qu'on croit et de ce qu'on veut croire. Je veux dire beaucoup de gens s'autopersuadent de ce qu'ils veulent croire. Et ils croient ce qu'ils veulent croire. Conclusion, ils s'autopersuadent souvent de ce qu'ils croient. C'est même parfois (souvent peut être même)inconscient, une façon d'échapper à une réalité qui dérangerait en se disant certaines choses et y croire. Et je le redis en reformulant, certains pédosexuels tiennent à leurs arguments, parce qu'ils pensent ou veulent que ces arguments appuient ce qu'ils veulent penser et de cette façon, ils croient parfois qu'ils ne font rien de mal. Mais ils ne sont pas forcément conscients du fait qu'ils se sont autopersuadé probablement à tord de ce qu'ils pensent avec un raisonnement trop simpliste qu'ils n'ont surement pas poussé assez loin pour se rendre compte qu'il y a peut être des détails sur lesquels ils se trompent. Mais se posent ils la question? Certains oui, mais ils préfèrent peut être ne pas trop y reflechir de crainte de découvrir qu'ils ont peut être tords sur certains points. D'autres ne se posent même pas la question, parce qu'ils pensent que les réponses qu'ils ont sont déjà les bonnes. Et tout ça, ils n'en ont pas forcément conscience, ça se passe dans la tête, on ne fait pas toujours (je dirais même pas souvent) attention à ce qui se passe dans nos têtes. Je pense que souvent on le refoule.
Ils déclarent souvent qu'ils ne savaient pas que l'enfant souffrirait de l'abus. Bien sûr, certains diront ça pour ne pas aggraver leur cas. Dire qu'ils savaient parfaitement ce qu'ils faisaient et qu'ils savaient que l'enfant allaient en souffrir reviendrait presque à admettre qu'ils sont des psychopathes. Mais d'autres y penseront sincèrement et n'étaient effectivement pas conscient dû par exemple peut être au refoulement de leur pensées comme je le disais plus haut qui les ont empeché de voir certaines choses. Certains ont même une vision déformée de la sexualité, ce qui peut aussi les empêcher de se rendre compte qu'ils vont trop loin.
Certains extrêmistes disent que les pédosexuels n'ont jamais de circonstances atténuantes. Si on suit sa logique, alors tous les abus se déroulent tous de la même façon et dans les mêmes circonstances. Mais ce n'est bien évidemment pas le cas et je vais le démontrer.
-Certains abuseurs coercisent les enfants de façon à les amener petit à petit à faire ce qu'ils veulent qu'ils fassent. Certains s'y prennent en douce pour soulager leur conscience car ils se disent que si l'enfant donne son consentement (peut être apparent), ils n'en souffriront que moins voir pas du tout. Au moins ceux là ont une conscience, certes parfois l'enfant ne peut pas donner ce qu'on appelle son consentement éclairé, mais l'abuseur s'en rend il compte? Le fait que ce cas là ait conscience de l'impact que peut avoir un rapport sexuel sur un enfant, c'est une circonstance atténuante. L'age de l'enfant est aussi une circonstance atténuante, car suivant son age, il saura plus ou moins capable de comprendre ce qu'est un rapport sexuel, il saura mieux à quoi il donne son consentement qui sera plus éclairé et l'impact en sera moins fort. Ce qui ne veut pas dire qu'un enfant de 14ans par exemple est forcément prêt à avoir un rapport sexuel, mais il y a de fortes chances pour qu'il le soit plus qu'un enfant de 8ans par exemple. Ca aussi, c'est une circonstance atténuante, si l'abuseur comprend qu'un enfant de 8ans est beaucoup moins apte à apprécier un rapport sexuel qu'un ado de 14ans.
-La loi elle même reconnait qu'un rapport sexuel consentant sur un mineur de moins de 15ans est possible. Celà reste répréhensible pour la sécurité des mineurs, mais quand le mineur a genre 13, 14ans, et suivant les faits, le rapport sexuel avec un adulte ne sera pas considéré comme un abus mais comme une atteinte sexuelle, ce qui est puni bien moins sévèrement qu'un abus. C'est aussi une circonstance atténuante.
-La fréquence des abus aussi. Le fait d'abuser de plusieurs enfants différents et plusieurs fois chacun sont des circonstances aggravantes, ce qui implique que le fait de l'avoir fait qu'une fois sur un seul enfant implique une absence de circonstances aggravantes (même si il y a d'autres circonstances aggravantes que le nombre et la fréquence des abus), donc représente aussi une circonstance atténuante. Surtout si par exemple l'abuseur fréquente plusieurs enfants et qu'il a eu des rapports sexuels qu'avec un seul d'entre eux parce qu'il considérait que les autres n'était pas prêts ou aptes à en avoir.
-Ensuite, il y a jusqu'où va l'abus. Qu'a fait l'abuseur de sexuel avec l'enfant? A t-il eu quelques caresses de façons et à des endroits pas très appropriés? L'a t-il carrément sodomisé? Les deux sont répréhensibles, mais l'un est bien plus punissable et a beaucoup de chances d'avoir un impact bien plus fort sur l'enfant que l'autre. La sodomie peut être une circonstance aggravante, mais dans ce cas, le fait qu'il n'y ait eu que des caresses, c'est une circonstance atténuante.
-Y'a t-il eu violence, chantage ou menace? Si oui, ce sont des circonstances aggravantes. D'autant plus que si l'abuseur a eu recours à un des trois, c'est qu'il était conscient du mal qu'il faisait. Certes ce n'est pas une circonstance atténuante dans le sens propre du terme, mais qui dit absence de circonstance aggravante, dit circonstance atténuante et donc ce n'est pas puni de la même façon.
-L'abuseur est-il vraiment pédophile? Et oui, rien que ça, peu se posent la question, mais pourtant, ça a une certaine importance. Le fait de ne pas être pédophile et donc ne pas souffrir de pulsion et de manque de sexe et de se rabattre quand même sur des enfants, c'est une circonstance aggravante et qui mérite d'être puni bien plus sévèrement qu'un pédophile ayant des pulsions qu'il n'a pas su contenir.
-Et ne pas oublier les victimes abuseurs. De nombreux abuseurs d'enfants sont en fait eux même, des victimes d'abus sexuels durant leur enfance. Certes, tous les abuseurs ne sont pas des victimes et toutes les victimes ne deviennent pas des abuseurs. Mais suivant la façon dont la victime vit son abus sexuel, ce qu'il en ressent, comment il l'interprête, comment il l'intériorise et ensuite l'extériorise etc... Il peut être amené à commettre des abus sur enfant à son tour. Par exemple (un cas parmi d'autres bien différents), certains enfants abusé très jeunes, se retrouvent désorientés et prennent leur abuseur comme modèle, car ils n'en ont pas vraiment eu d'autres et quand on est enfant et qu'on grandit dans cette perspective et cette vision fausse des rapports entre les gens, il est alors possible que la victime reproduise son abus.
[A suivre, car il y en a encore à dire]