A noter : Ces chiffres ne sont pas les miens. Ils viennent d'études faites par des professionnels.
Basés sur l'étude de 300 cas condamnés pour des délits allant des plus légers aux plus graves, les travaux publiés en 1998 par Martorell et Coutanceau montrent qu'une infime minorité de sujets est sadique. Chez eux, se combinent perversité et sexualité, ils seraient plus "prédateurs" ou "pédoclastes" que pédophiles à proprement parler. Un second petit groupe est constitué par des violeurs ou assassins, pour la plupart psychotiques ou déficients mentaux. Enfin l'écrasante majorité (80 %) sont de "tripoteurs" en quête d'attouchements, qui ne pratiquent que rarement le coït. Pour aborder les enfants, ces derniers usent exclusivement de la séduction.
Des pédocriminels plus prédateurs que pédophiles et un groupe la plupart psychotique et déficients mentaux. C’est déjà une bonne chose qu'on fasse la différence entre prédateurs et pédophiles et encore plus qu'on distingue ces derniers des psychopathes et des déficients mentaux (ce qui sous-entend une difficulté dans leur perception d'autrui). Les prédateurs à proprement parlé, commencent souvent comme ça, par des attouchements, de nature pas très appropriés. Si on les appelle des prédateurs et si ils se comportent comme tels, déjà, c'est qu'ils ne sont pas très respectueux envers les enfants. Et leur objectif est de satisfaire leurs désirs voir leurs pulsions. Certains pourraient être ce qu'on appelle des pédocriminels compulsifs, étant quasi incapables de contenir leurs pulsions.
Ne pas oubliez aussi que les psychopathes et déficients mentaux ont des problèmes de perceptions de l'autre et que du coup, ils ne savent pas forcément (surtout les psychotiques) ce qui est bien ou mal. La preuve en est qu'ils violent et tuent. A ne pas ranger donc dans la catégorie des pédophiles.
Attention aussi au fait qu'il s'agit là de proportion pour des gens qui sont en prison, et non de la véritable proportion de pédophiles en réalité.
Et une question se pose, qu'est-ce que tripoter un enfant? Quels sont les gestes répréhensibles et pourquoi envoie-t-on ces "tripoteurs" en prison, suivant ce qu'ils ont fait, et suivant la fréquence et les conséquences que cela a eu sur les enfants qu'ils ont "tripotés", sont-ils vraiment coupables? Ont-ils tous mérités de croupir en prison avec ceux qui ont eu des gestes vraiment inappropriés envers les enfants et qui ont fortement pris le risque de les plonger dans la confusion et les perturber?
Je ne sais pas perso. Le truc est que rien n'est précisé, aucun détail, rien. Mais j'aimerais bien connaître leur définition de "tripoter", beaucoup de pédophiles touchent des enfants, sans leur faire aucun mal. Par des bisous, des calins, des petits jeux de contacts physiques sans que cela fassent du mal à l'enfant. Mais pour Coutenceau et son comparse, c'est quoi tripoter?
Maintenant je ne dis pas que parmi les soit disant tripoteurs, il n'y en a pas qui sont réellement des prédateurs d'enfants, mais pour ce qui est de ceux là, ils tripotent les enfants, parfois n'importe où, sans leur demander leur avis, sans tenir compte du fait que l'enfant peut ne pas comprendre et qu'il risque de le "plonger dans la confusion". Ces pervers, appelons les comme ça, sont donc des prédateurs d'enfants parce qu'ils ne pensent qu'à eux et à assouvir leur besoin et parfois, je dirais même souvent leur pulsions. Il faudrait peut-être se dire aussi que dans ces cas là, la véritable maladie de ces gens là, c'est d'avoir des pulsions et non la pédophilie elle même.
EXTRAIT D'UN LIVRE DE SERGE ANDRE
Les chercheurs ont trouvé que les victimes de sexe féminin étaient plus souvent abusées par des membres de leur famille alors que les garçons étaient plus souvent les victimes d'agresseurs de l'extérieur. Statistiquement, les garçons courent davantage de risques d'être abusés. par le personnel enseignant, le personnel d'entraînement, les personnes chargées de les garder et autres adultes en situation d'autorité que par des membres de leur propre famille. Les recherches empiriques indiquent cependant que le nombre absolu de garçons qui sont abusés sexuellement au Sein de leur famille demeure très élevé.
Si c'est une fille qui est victime de l'un de ses parents, dans 65 % des déclarations, elle sera la seule victime déclarée. S'il s'agit d'un garçon, dans 60 % des cas, il y aura une autre victime.
Les types d'activité qui constituent l'abus diffèrent entre les victimes en fonction des sexes. Les garçons sont beaucoup plus souvent victimes de sodomie et participent plus souvent à une masturbation mutuelle. En outre, les garçons ont plus souvent un orgasme au cours de l'abus. Une étude effectuée par Pierce et Pierce (1985) a conclu que les agresseurs avaient plus souvent des rapports sexuels oraux avec les garçons. La même étude a conclu que 40 % des agresseurs masturbaient les garçons, ce qui est plus élevé que la statistique équivalente pour les filles. Cependant, les garçons étaient caressés beaucoup moins souvent que les filles.
Basés sur l'étude de 300 cas condamnés pour des délits allant des plus légers aux plus graves, les travaux publiés en 1998 par Martorell et Coutanceau montrent qu'une infime minorité de sujets est sadique. Chez eux, se combinent perversité et sexualité, ils seraient plus "prédateurs" ou "pédoclastes" que pédophiles à proprement parler. Un second petit groupe est constitué par des violeurs ou assassins, pour la plupart psychotiques ou déficients mentaux. Enfin l'écrasante majorité (80 %) sont de "tripoteurs" en quête d'attouchements, qui ne pratiquent que rarement le coït. Pour aborder les enfants, ces derniers usent exclusivement de la séduction.
Des pédocriminels plus prédateurs que pédophiles et un groupe la plupart psychotique et déficients mentaux. C’est déjà une bonne chose qu'on fasse la différence entre prédateurs et pédophiles et encore plus qu'on distingue ces derniers des psychopathes et des déficients mentaux (ce qui sous-entend une difficulté dans leur perception d'autrui). Les prédateurs à proprement parlé, commencent souvent comme ça, par des attouchements, de nature pas très appropriés. Si on les appelle des prédateurs et si ils se comportent comme tels, déjà, c'est qu'ils ne sont pas très respectueux envers les enfants. Et leur objectif est de satisfaire leurs désirs voir leurs pulsions. Certains pourraient être ce qu'on appelle des pédocriminels compulsifs, étant quasi incapables de contenir leurs pulsions.
Ne pas oubliez aussi que les psychopathes et déficients mentaux ont des problèmes de perceptions de l'autre et que du coup, ils ne savent pas forcément (surtout les psychotiques) ce qui est bien ou mal. La preuve en est qu'ils violent et tuent. A ne pas ranger donc dans la catégorie des pédophiles.
Attention aussi au fait qu'il s'agit là de proportion pour des gens qui sont en prison, et non de la véritable proportion de pédophiles en réalité.
Et une question se pose, qu'est-ce que tripoter un enfant? Quels sont les gestes répréhensibles et pourquoi envoie-t-on ces "tripoteurs" en prison, suivant ce qu'ils ont fait, et suivant la fréquence et les conséquences que cela a eu sur les enfants qu'ils ont "tripotés", sont-ils vraiment coupables? Ont-ils tous mérités de croupir en prison avec ceux qui ont eu des gestes vraiment inappropriés envers les enfants et qui ont fortement pris le risque de les plonger dans la confusion et les perturber?
Je ne sais pas perso. Le truc est que rien n'est précisé, aucun détail, rien. Mais j'aimerais bien connaître leur définition de "tripoter", beaucoup de pédophiles touchent des enfants, sans leur faire aucun mal. Par des bisous, des calins, des petits jeux de contacts physiques sans que cela fassent du mal à l'enfant. Mais pour Coutenceau et son comparse, c'est quoi tripoter?
Maintenant je ne dis pas que parmi les soit disant tripoteurs, il n'y en a pas qui sont réellement des prédateurs d'enfants, mais pour ce qui est de ceux là, ils tripotent les enfants, parfois n'importe où, sans leur demander leur avis, sans tenir compte du fait que l'enfant peut ne pas comprendre et qu'il risque de le "plonger dans la confusion". Ces pervers, appelons les comme ça, sont donc des prédateurs d'enfants parce qu'ils ne pensent qu'à eux et à assouvir leur besoin et parfois, je dirais même souvent leur pulsions. Il faudrait peut-être se dire aussi que dans ces cas là, la véritable maladie de ces gens là, c'est d'avoir des pulsions et non la pédophilie elle même.
EXTRAIT D'UN LIVRE DE SERGE ANDRE
Les chercheurs ont trouvé que les victimes de sexe féminin étaient plus souvent abusées par des membres de leur famille alors que les garçons étaient plus souvent les victimes d'agresseurs de l'extérieur. Statistiquement, les garçons courent davantage de risques d'être abusés. par le personnel enseignant, le personnel d'entraînement, les personnes chargées de les garder et autres adultes en situation d'autorité que par des membres de leur propre famille. Les recherches empiriques indiquent cependant que le nombre absolu de garçons qui sont abusés sexuellement au Sein de leur famille demeure très élevé.
Si c'est une fille qui est victime de l'un de ses parents, dans 65 % des déclarations, elle sera la seule victime déclarée. S'il s'agit d'un garçon, dans 60 % des cas, il y aura une autre victime.
Les types d'activité qui constituent l'abus diffèrent entre les victimes en fonction des sexes. Les garçons sont beaucoup plus souvent victimes de sodomie et participent plus souvent à une masturbation mutuelle. En outre, les garçons ont plus souvent un orgasme au cours de l'abus. Une étude effectuée par Pierce et Pierce (1985) a conclu que les agresseurs avaient plus souvent des rapports sexuels oraux avec les garçons. La même étude a conclu que 40 % des agresseurs masturbaient les garçons, ce qui est plus élevé que la statistique équivalente pour les filles. Cependant, les garçons étaient caressés beaucoup moins souvent que les filles.