Notez que je ne suis pas tout à fait sûr du titre. J'ai vu le film en VO dont le titre est "boys of St Vincent".
Mis en vente ici (import zone 1)
http://www.amazon.com/exec/obidos/ASIN/B0000DIJON/dvdtalk
Synopsis :
Il s'agit d'un film mettant en scène des jeunes garçons dans un orphelinat catholique où plusieurs prêtres y abusent sexuellement des enfants. Le film se centre surtout sur Kevin, l'un des garçons de l'école particulièrement ciblé par le père supérieur de l'orphelinat.
Mon avis (attention spoilers) :
Le film est particulièrement difficile à voir, une scène vers le début frôle même la pédopornographie. Les enfants sont abusés et violentés. Le concierge de l'école qui est pratiquement le seul adulte qui aime et respecte les enfants de l'orphelinat tente de faire parler Kevin en l'emmenant à l'hopital, puis déclenche des procédures en allant voir la police.
Le père supérieur est d'une profonde cruauté. Il se montre parfois en quelque sorte amoureux du petit Kevin, mais il s'agit en faite d'une déformation de l'amour car si il montre un peu de tendresse à son égard, il s'impose et le possède. Il est tendre avec lui car il en a envie et le brutalise aussi pour arriver à ses fins. La scène où il le frappe après que l'enfant l'ait repoussé montre un grand manque de respect et surtout un refus que l'enfant échappe à son emprise. En bref, si pour de son point de vue il s'agit d'amour, c'est en fait de la domination. Il s'agit donc d'un pédophile actif dominant et aussi quelque peu paternel, car il se prétend remplacer la mère du petit Kevin.
Il n'est donc pas vraiment de bonne foi car il se rend bien compte du mal qu'il fait, comme quand il parle de manière ferme et menaçante à Kevin qu'il saura ce que l'enfant dira aux policiers quand ces derniers viennent l'interroger. Il n'hésite pas non à passer ses nerfs sur les enfants à leur criant dessus (en les dominant encore une fois).
L'un des garçons, un adolescent ne se gêne pas pour faire de la résistance et tenir tête aux prêtres. Notamment pour protéger son petit frère.
Le père supérieur n'hésite pas non plus à maintenir les enfants dans le silence à l'aide de menaces comme quoi dieu les punira si ils parlent. Ce qui est étonnant, c'est qu'on s'attendait à ce que les enfants ne disent alors rien, tant le père supérieur essaye de les terroriser avant les interrogatoires de la police. Mais les enfants disent tout finalement, probablement que le téléfilm, déjà en deux parties, aurait été trop long si ils avaient rajouté une partie où les enfants sont maintenus au silence puis décident après de finalement tout raconter.
On est du coup aussi content pour les enfants, lorsqu'ils vont au lit et qu'on leur annonce qu'un des prêtres à été démis de ses fonctions et remplacé. Les garçons crient et sautent de joie. C'est un moment où l'on a envie de sauter de joie avec eux.
Le film, ou plutôt téléfilm est inspiré d'un fait divers qui a vraiment eu lieu au Canada. Il se divise en deux parties. La première suit l'enfance de Kevin et la deuxième le procès des frères de l'orphelinat plusieurs années plus tard.
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Synopsis :
Il s'agit d'un film mettant en scène des jeunes garçons dans un orphelinat catholique où plusieurs prêtres y abusent sexuellement des enfants. Le film se centre surtout sur Kevin, l'un des garçons de l'école particulièrement ciblé par le père supérieur de l'orphelinat.
Mon avis (attention spoilers) :
Le film est particulièrement difficile à voir, une scène vers le début frôle même la pédopornographie. Les enfants sont abusés et violentés. Le concierge de l'école qui est pratiquement le seul adulte qui aime et respecte les enfants de l'orphelinat tente de faire parler Kevin en l'emmenant à l'hopital, puis déclenche des procédures en allant voir la police.
Le père supérieur est d'une profonde cruauté. Il se montre parfois en quelque sorte amoureux du petit Kevin, mais il s'agit en faite d'une déformation de l'amour car si il montre un peu de tendresse à son égard, il s'impose et le possède. Il est tendre avec lui car il en a envie et le brutalise aussi pour arriver à ses fins. La scène où il le frappe après que l'enfant l'ait repoussé montre un grand manque de respect et surtout un refus que l'enfant échappe à son emprise. En bref, si pour de son point de vue il s'agit d'amour, c'est en fait de la domination. Il s'agit donc d'un pédophile actif dominant et aussi quelque peu paternel, car il se prétend remplacer la mère du petit Kevin.
Il n'est donc pas vraiment de bonne foi car il se rend bien compte du mal qu'il fait, comme quand il parle de manière ferme et menaçante à Kevin qu'il saura ce que l'enfant dira aux policiers quand ces derniers viennent l'interroger. Il n'hésite pas non à passer ses nerfs sur les enfants à leur criant dessus (en les dominant encore une fois).
L'un des garçons, un adolescent ne se gêne pas pour faire de la résistance et tenir tête aux prêtres. Notamment pour protéger son petit frère.
Le père supérieur n'hésite pas non plus à maintenir les enfants dans le silence à l'aide de menaces comme quoi dieu les punira si ils parlent. Ce qui est étonnant, c'est qu'on s'attendait à ce que les enfants ne disent alors rien, tant le père supérieur essaye de les terroriser avant les interrogatoires de la police. Mais les enfants disent tout finalement, probablement que le téléfilm, déjà en deux parties, aurait été trop long si ils avaient rajouté une partie où les enfants sont maintenus au silence puis décident après de finalement tout raconter.
On est du coup aussi content pour les enfants, lorsqu'ils vont au lit et qu'on leur annonce qu'un des prêtres à été démis de ses fonctions et remplacé. Les garçons crient et sautent de joie. C'est un moment où l'on a envie de sauter de joie avec eux.
Le film, ou plutôt téléfilm est inspiré d'un fait divers qui a vraiment eu lieu au Canada. Il se divise en deux parties. La première suit l'enfance de Kevin et la deuxième le procès des frères de l'orphelinat plusieurs années plus tard.