Quelques extraits du livre "qu'est-ce que la pédophilie?" de Serge André et Guidino Gosselin, deux psychanalystes. Ce livre se base sur l'autobiographie d'un pédophile pédosexuel (donc actif), boylover préférentiel donc non exclusif, assumé, séducteur pervers, de bonne foi. Pour mieux connaître la classification des pédophiles, vous pouvez vous orienter sur le topic suivant :
https://adep.1fr1.net/t53-e0-les-differents-types-de-pedophiles-classification-des-pedophiles
Je poste d'abord les extraits que je commenterai après.
"Je surpris un jour une conversation entre ma mère et une voisine. Celle-ci indignée, lui racontait que la fruitière, qui venait d'avoir un bébé, lui avait expliqué innocemment qu'elle masturbait son petit garçon chaque fois qu'elle lui donnait le sein..."
La masturbation des bébés par leur mère ou leur nourrice au cours de l'allaitement ou au moment du coucher était une pratique assez courante sous l'ancien régime, selon certains historiens des meorus familiales (Philippe Ariès, Jos Van Ussel...). Le silence de la mère pourrait donner à l'acte un aspect naturel.
Sa mère, "très possessive et protectrice ne voulant pas me laisser au jardin d'enfants, car elle voulait me garder auprès d'elle le plus longtemps possible". Ce qui lui permet de s'identifier au phallus susceptible de combler le manque de l'autre, de s'instituer comme seul et unique objet possible au désir de la mère.
J'accompagnais l'élue ouvrière du jour de ma mère dans ma chambre où elle me lavait dans un tub mais aussi me masturbait et suçait mon zizi. J'y prenais un vif plaisir. Je ne demandais rien mais j'étais ravi qu'elle recommence plusieurs fois. L'une après l'autre, elles se firent mettre à la porte. Heureusement , ma mère en engageait d'autres dont plusieurs me firent les mêmes douceurs que celles qui avaient quitté l'atelier. Etant enfant unique ultra protégé, je n'avais aucun contact avec les autres enfants de mon âge.
https://adep.1fr1.net/t53-e0-les-differents-types-de-pedophiles-classification-des-pedophiles
Je poste d'abord les extraits que je commenterai après.
"Je surpris un jour une conversation entre ma mère et une voisine. Celle-ci indignée, lui racontait que la fruitière, qui venait d'avoir un bébé, lui avait expliqué innocemment qu'elle masturbait son petit garçon chaque fois qu'elle lui donnait le sein..."
La masturbation des bébés par leur mère ou leur nourrice au cours de l'allaitement ou au moment du coucher était une pratique assez courante sous l'ancien régime, selon certains historiens des meorus familiales (Philippe Ariès, Jos Van Ussel...). Le silence de la mère pourrait donner à l'acte un aspect naturel.
Sa mère, "très possessive et protectrice ne voulant pas me laisser au jardin d'enfants, car elle voulait me garder auprès d'elle le plus longtemps possible". Ce qui lui permet de s'identifier au phallus susceptible de combler le manque de l'autre, de s'instituer comme seul et unique objet possible au désir de la mère.
J'accompagnais l'élue ouvrière du jour de ma mère dans ma chambre où elle me lavait dans un tub mais aussi me masturbait et suçait mon zizi. J'y prenais un vif plaisir. Je ne demandais rien mais j'étais ravi qu'elle recommence plusieurs fois. L'une après l'autre, elles se firent mettre à la porte. Heureusement , ma mère en engageait d'autres dont plusieurs me firent les mêmes douceurs que celles qui avaient quitté l'atelier. Etant enfant unique ultra protégé, je n'avais aucun contact avec les autres enfants de mon âge.
Dernière édition par Dante (Admin) le Sam 28 Juil - 14:04, édité 3 fois